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  • Une vache

    , sur une façade bien ravalée, bien curieusement dans une bouteille.

     

     


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  • Monolithique en même temps que fantômatique,

    la cathédrale Saint André de Bordeaux, hier en fin d'après midi, à la brume tombante...

     

     


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  • J o y e u x  N o ë l  !

     


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  • Noël approchant, j'aime bien me livrer à qq petits bricolages sympas, même si on m'a longtemps dit que je n'étais pas manuelle. Tu n'es pas manuelle, tu n'es pas logique... J'ai été toute contente, un jour, en passant des test pour une formation AFPA, de découvrir que, finalement, je ne suis pas mauvaise côté logique. Côté manuel, eh bien de temps en temps je fais de petites choses par-ci par-là, et je n'ai pas deux mains gauches.

    Cette année, je me suis dit qu'à partir de différents trucs qui trainaient : une vieille boîte de chocolat de l'an passé, conservée parce que jolie, des pignes ramassées récemment car j'adore ramasser des pignes, du papier de soie récupéré au boulot car je ne supporte pas de jeter un truc qui pourrait servir...

     

     

     

    J'envisage donc, à partir de tout ça, de faire un centre de table pour Noël, qui devrait ressembler à ça :

     

     

    La boîte de conserve ? pour poser la bougie dessus car la boîte en carton est profonde. Bien sûr, la bougie sera isolée du papier (je dois avoir un tout petit verre qui traîne par là), et je me dit qu'un bolduc rouge enroulé en spirale dessus serait pas mal du tout...

    Promis, je vous montrerai des photos !  :-D


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  • A votre avis, qu'y a-t-il là dedans...

     

    J'ai trouvé une recette dans le journal TV de dimanche dernier. Il s'agissait d'une recette de poulet en papillotte, avec un mélange de fromage de chèvre, de miel, d'olives noires... Cela paraissait fort intéressant. Sauf que je n'aime pas le chèvre, et que mes fils n'aiment pas le sucré-salé...

    J'ai donc adapté la recette, en conservant... le poulet, et les olives noires ! 

    Bref : voici les ingrédients :

    - 4 blancs de poulet

    - 1 dizaine d'olives noires

    - 200 grammes de Carré Frais Gervais

    - sel, poivre, et... cumin (en poudre)

    Dans un saladier, mélangez le Carré Frais+sel, poivre, du cumin, les olives noires coupées en petits morceaux.

     Coupez du papier d'aluminium en 4 rectangles de 30/40 cm de côté. Au milieu de chaque papier, posez un blanc de poulet que vous déplierez puisque généralement ils sont plutôt repliés sur eux-mêmes, déposez 1/4 de la préparation à base de Carré Frais. Saupoudrez de cumin (si vous aimez bcp le cumin, vous pouvez aussi en déposer sur le papier d'alu sous le poulet), faites de jolies papillottes et enfournez. Là encore, j'ai adapté la recette qui donnait un temps de cuisson de 10 min. J'aime le poulet assez cuit, j'ai donc fait cuire mes papillotes presque une demi-heure, température 200° (ce qui doit correspondre à un thermostat 6). J'ai servi les papillottes avec de la semoule de blé pour faire l'unanimité autour de la table, personnellement j'aurais préféré du boulgour ou du quinoa...  D'accord, la photo ne rend pas forcément bien, mais je vous assure que les papilles ont apprécié !

    BON APPETIT !

     

     

    Dans un film d'Isabelle Coixet, sorti il y a 3 ans je crois, The Secret Life of Words, il y a quelques scènes fabuleuses mettant en scène un cuistot, sur une plate-forme pétrolière quasi-déserte, préparant les repas pour les quelques personnes encore présentes. Il prépare le repas en écoutant, volume à fond, une musique choisie pour illustrer le plat. La Traviata pour un plat de pâtes à la Bolognese par exemple. Ce soir, pour préparer mes papillottes, j'avais mis un vieil album de Pink Floyd, Wish you Where Here. Pas grand'chose à voir avec le poulet c'est vrai, mais très agréable quand même ! ;-)) 


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  • Tous ne sont malheureusement pas aussi beaux, et c'est dommage, car j'aime bien cette idée de transformer ces gros cubes de béton en ruine, en quelque chose de coloré, dont les couleurs prennent un relief particulier, dans cet espace finalement pauvre en couleur, même si mer et ciels peuvent prendre un nombre incroyable de nuances.

    Alors, oui aux tags !

     


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  • Deux deux pattes....

    Mes deux pattes ont respectivement 19 et 16 ans. Je les aime bien (quand même !) mais j'avoue que parfois ils m'agacent... Je pourrais passer une petite annonce :

     Donne adolescents, vaccinés, non tatoués, toutes options (téléphones, IPod...)

    Malheureusement je crois qu'ils ne sont même pas exceptionnels, des ados comme beaucoup d'autres ados, gentils mais pas attirés par les études, où alors il faudrait que les profs se mettent à MSN ça les passionnerait peut-être un peu plus... En attendant je les regarde grandir (maintenant il faut que je regarde en l'air pour les voir), souvent perplexe de leurs réactions ou de leurs comportements, un peu comme une poule qui verrait deux jeunes pélicans dans sa couvée...


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  • Elle nous sert étrangement de thermomètre extérieur... Bien qu'il s'agisse d'une chatte vivant essentiellement dans la maison (elle atteint l'âge où les chats dorment plus qu'ils ne veillent), elle sait quel temps il fait dehors. Ainsi, si l'été elle est la première levée et demande immédiatement à sortir, l'hiver elle retarde l'heure de son lever au fur et à mesure que les températures baissent. Si elle ne descend pas l'escalier en même temps que moi le matin, je sais déjà qu'il fait très froid...

    L'été, selon où elle choisit de dormir, là encore c'est une indication de la température extérieure. Si elle dort encore sur les lits des uns ou des autres (comme tout bon chat, c'est une routinière qui change ses habitudes régulièrement, pour en adopter de nouvelles) il fait encore bon. Si elle s'affale sur la moquette du couloir, c'est que la température monte vers les 30°.

    En ce moment, il fait plutôt froid et, de surcroit, humide. Elle tient à sortir (ne serait-ce que pour prendre l'air sur un rebord de fenêtre, elle a "besoin" de sa dose journalière d'air extérieur même quand le temps est vraiment mauvais) et j'apprécie de la prendre lorsque elle rentre : sa fourrure est fraîche, et sent bon, notamment lorsqu'un voisin fait du feu dans sa cheminée et embaume le quartier, elle en ramène l'odeur sur elle !


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  • On pense avoir toujours vingt ans, ou à peine plus, on ne regarde pas trop ses rides, on colore ses cheveux, on surveille sa ligne et on est fière de clamer qu'on rentre toujours dans un petit 36…

    Mais voilà, d'autres se chargent de nous renvoyer notre âge en pleine figure, les enfants par exemple.
    Un adolescent, fainéant, boutonneux, squatte maintenant mon ordinateur, et la facilité avec laquelle il survole les touches du clavier me laisse rêveuse, moi qui, pourtant, passai jadis haut la main quelques concours de dactylographie.

    Car oui, autrefois, dans des temps certainement très reculés, existaient quelques joyeusetés comme les concours de dactylographie et sténographie…  J'ai beau me glorifier de  rentrer encore dans mon petit 36, les années passent et me voilà que je me sens plus proche du dinosaure que du geek.

    En l'occurrence, l'adolescent fainéant et boutonneux, accro à MSN, m'énerve un peu trop en ce moment.
    Voilà que dernièrement, ce mollasson (est-ce vraiment le mien ?), alors que je lui mentionne pour la énième fois en passant devant le bureau que je prépare une machine de linge et qu'il ferait bien de me donner le sien, me rétorque "je suis vraiment obligé de me déshabiller maintenant ?" l'air las et excédé…

    Lasse et excédé moi-même d'une telle insolence, mais résolue à ne pas me laisser aller à la colère (façon publicité pour je ne sais trop quel forfait pour téléphone portable, celle-là même dans laquelle une maman "explose" son fiston qui dépasse son forfait), bref, résolue disais-je à rester calme, je redescends donc et mets en route la machine, sans plus me préoccuper de l'énergumène…

    La vengeance est un plat qui se mange froid, et c'est ce qu'il constatera lui-même une heure plus tard, quand, descendant dans la cuisine s'enquérir de ce qu'il y a au menu, je lui rétorque très désagréablement "tu n'es pas obligé de me donner tes vêtements, je ne suis pas obligée de faire à manger…"

    Et toc.


    Hier comme je mettais en route une nouvelle machine, il m'a très vite donné son linge sans que je le lui demande… il file doux... pour quelques temps encore :-/ 


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  • Gelée dehors, lumière froide couloirs encore vides, les femmes de ménage terminent leur boulot, certains commencent leur journée devant le distributeur de café, déjà... je monte les escaliers à moitié réveillée, dans le soleil levant... 

     

     


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  • Certains de mes collègues faisaient les magasins :-((  j'ai préféré me balader dimanche dernier sur le Bassin d'Arcachon. Pas grand monde, le vent froid, venant de l'Est, avait découragé les promeneurs.

    C'est la saison des arbouses, dont les couleurs resplendissent en plein soleil.

     

    Vers le bout de la presqu'île du Cap Ferret, le vent souffle quasi-perpétuellement, les arbres poussent difficilement, et prennent des formes tourmentées. Ce pin, on aurait dit un serpent gigantesque en train de sortir du sol. 

     

     


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  • Un gros coup de foudre pour cette tasse Art Déco, trouvée dans un vide grenier. En excellent état, elle est issue des faïenceries d'Onnaing, dans le nord de la France. A l'époque, la faïencerie avait produit des services à café, services à gâteau, service de table... à l'effigie de Mickey, sous licence Walt Disney USA. Je n'ai malheureusement pas les moyens de m'offrir d'autres pièces de la collection, qui s'arrachent à prix d'or sur le net...

     


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  • Si j'aime les couleurs, en particulier celles de l'automne, j'aime également lorsque la nature se rend capable d'une certaine monochromie étonnante. Ainsi, ce jour gris sur le bassin d'Arcachon.

     


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  • Un endroit un peu particulier : cateners du train, cateners du tramway, lignes électriques entrecroisées toutes ensembles. Il suffit de lever les yeux pour découvrir, dans la lumière grise d'une fin d'après-midi d'automne, une sobre géométrie qui me plait. 

     

    J'aime aussi celle-ci, pour son aspect plus industriel encore.

     

     

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