• C'est pas grand chose, c'est même assez bête. Je me suis tout simplement aperçue que je pouvais retravailler mes photos avec Paint, au moins pour le cadrage. Pas question de me lancer dans du Photoshop, pas le temps pour l'instant (il me faudrait au moins 100 vies supplémentaires pour faire tout ce que je voudrais faire !), mais Paint permet au moins de redéfinir le format de la photo.

    Ca n'a l'air de rien, mais la photo me convient mieux comme ça, au moins en ce qui concerne le cadrage, donc. Il faut que je la retente, avec une meilleure lumière. Zut, plus ça va moins je suis contente de mes photos. Ci-dessous la photo avant recadrage.

    votre commentaire
  • Tant pis, je cours le risque de paraître monomaniaque. Les arums m'ont particulièrement inspirée ce dimanche.

     


    votre commentaire
  • Celle-là, je ne voulais pas la mettre sur mon blog, je l'avais mise ds un dossier en notant "à refaire". Pourquoi ? Je suis totalement satisfaite de la composition, du cadrage, du mouvement, des couleurs. Mais l'arum est sale. Or dans toutes les "belles" photos qu'on peut voir ici et là ds les bouquins consacrés aux photographes, il n'y a jamais de saleté. L'urinoir de Duchamp, la cuvette de porcelaine de Weston, sont pareillement immaculés, comme s'il fallait faire oublier la trivialité de l'objet.  Aussi, j'avais éliminé cette photo, en notant qu'il faudrait que je sois plus vigilante la prochaine fois, non seulement au cadrage, etc, mais aussi à la qualité même de ce que j'étais en train de photographier. (c'est aussi le paradoxe de la photo : on photographie tout en oubliant de regarder ce qu'on photographie !) 

    Et puis cet après-midi, en y réfléchissant bien, je me suis dit que la réalité, ce ne sont pas ces belles photos sur papier glacé. Oui, bien sûr, en choisissant un arum plus beau - en le lavant peut-être même ! j'obtiendrai la photo (que je  ferai d'ailleurs certainement à l'occasion) dont je rêve. Mais la réalité de l'arum du jardin, c'est bien celle-ci, celle de l'arum sali par la pluie et la grêle de l'orage. J'en viens à me poser des questions sur cet art que j'admire entre tous : la photographie ne serait-elle rien d'autre qu'un miroir ne nous renvoyant qu'une vision idéalisée du monde ? 

     


    votre commentaire
  •  

    Les photos de Weston m'ont conforté dans mon idée que tout mérite d'être photographié, et, plus encore, d'être regardé, tout même l'objet le plus ordinaire.

    Inspirée par Edward Weston, photographe américain du début du XXème siècle, contemporain de Man Ray donc. Mais alors que Man Ray vint en Europe, Weston préféra le Mexique, alors très actif culturellement, où il rencontra entre autres Diego Rivera. Les photographies de Weston me plaisent bcp car il met en scène des objets quotidiens, ou des choses simples issues de la nature (les poivrons par exemple, ou les coquillages), et il sera également un des premiers photographes américains à photographier le monde industriel.

    votre commentaire
  • Inspirée par : Man Ray, qui a travaillé sur le négatif, et... les rayons X.

    ce qui donne l'occasion de tenter tout un tas d'expériences quand il fait trop chaud pour aller faire une ballade à vélo, et qu'on n'a pas envie de bouquiner (pour une fois).

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique