• C'était une journée d'agacements. Agacement de devoir bosser sur un nouveau logiciel, lent, inadapté - on imagine toujours qu'en informatique, en ce début de 21ème siècle, on est à la pointe du progrès. Eh bien non. Certains informaticiens concepteurs de logiciels sont dénués de toute logique élémentaire, et certains acheteurs achètent n'importe quoi. Arrivé à mon niveau, celui de l'utilisateur, eh bien il faut faire avec, et on n'a pas le choix. Et comme on était en réunion téléphonique (en "conf call") avec notre chef parisienne au sujet de ce nouveau logiciel, ma collègue D. qui m'agite un papier sous le nez "je peux manger avec toi ?". Re-agacement. J'ai fait beaucoup d'efforts, et nos rapports sont redevenus vivables, mais déjeuner avec elle, j'évite. Je la supporte déjà en face de moi au boulot, pas envie de la supporter aussi quand je prends ma pause déjeuner, moment qui, pour moi, est important, le mot "pause" prend tout son sens. Bref. L'après-midi s'est passée, pression et stress, on a beaucoup de boulot en ce moment. Au moment de partir, j'ai croisé ma chef bordelaise à qui j'ai répété que le mois de juin va être difficile pour nous, car le prestataire qui renforçait notre équipe depuis deux mois termine sa mission demain, alors que le mois de juin est toujours un mois d'activité intense pour notre service, car il nous faut préparer les habilitations des auxiliaires de vacances. Mais ma chef a balayé ce que je disais d'un revers de la main, tout en me demandant où j'en étais du pointage de la facture d'un de nos fournisseurs - encore une mission supplémentaire pour moi qui ne me rapporte absolument rien et qui se rajoute à mon quotidien. Et comme je quittais enfin le boulot, je me suis retrouvée coincée dans les embouteillages... :-/

    Ce n'est pas bien grave, juste une série d'agacements, rien qui ne m'empêchera de dormir ce soir. Et demain sera un autre jour.


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  • Loukoum à la fenêtre


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  • Je n'ai jamais aimé le parc d'à côté, et je ne l'aimerai jamais vraiment, pas joli, trop humide, ceci dit, je trouve bien sympa et pratique d'avoir un grand espace vert à côté de chez moi et j'y vais assez souvent.

    C'est toujours l'occasion de jolies rencontres...

    Rencontres...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Rencontres...


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  • Plongée dans le passéIl est là, massif, inaltérable, inamovible, indestructible. "Pourquoi il est là, cet évier ? C'est comme ça, à l'époque, quand on construisait une maison, on mettait un évier à l'extérieur, m'a expliqué ma tante".

    Dans l'angle de la maison, derrière, sous l'érable, l'eau de l'unique robinet était toujours froide, même en plein été, et le béton, glacé, sous mes fesses de petite fille posée sur le rebord, jambes trempant dans l'eau. Ma cousine et moi y passions des heures. Ma mère n'ayant pu s'arrêter de travailler, après ma naissance, c'est ma tante qui m'a gardé, pendant mes trois premières années. J'ai dû en prendre, des bains, dans cet évier, et je me souviens bien du froid sous mes fesses, et de l'eau bien froide, c'est même un de mes plus anciens souvenirs, ce béton, dur et froid, et le soleil bien chaud dardant quelques rayons à travers les branches de l'érable.

    La maison est toujours là, l'évier aussi.

     

     

     

     

     

     

    Le poulailler aussi, au fond du jardin, qui a vu passer quelques générations de fanchettes !

    Plongée dans le passé

     

     


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  • Il y avait lontemps que je n'avais pas fait un tel périple en vélo, et, à vrai dire, je me suis demandée si je n'avais pas trop présumé de mes forces et si je parviendrais à rentrer chez moi, mais finalement, si. 

    Je suis partie de chez moi, direction Bordeaux, passage dans le centre-ville pour aller chercher le nouveau programme de l'Utopia, puis j'ai franchi la Garonne sur le Pont de Pierre, pour me balader le long de la Garonne, dans le nouveau parc, le parc des Angéliques, que la mairie de Bordeaux a choisi d'aménager rive droite, sur des anciennes friches industrielles. J'ai retraversé la Garonne par le nouveau pont, me suis baladé le long des bassins à flot, je suis allée jusqu'à la base sous-marine. J'ai choisi de rentrer, non par les boulevards, mais par les petites rues périphériques, en me disant qu'au jugé, je finirais bien par arriver chez moi. Je me suis donc égarée dans les rues du Bouscat, et j'ai eu un instant de panique en m'apercevant que j'étais à Eysines, bien plus loin que je ne le croyais... J'ai fini par rentrer chez moi, fourbue mais contente. Il faisait gris et frais, le temps idéal pour faire du vélo, et cela m'a fait du bien !

    Ce fut un voyage dans le passé...

    Une grue oubliée...

    On the road again

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La base sous-marine..

     

     

    On the road again

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une voie ferrée désaffectée...

    On the road again

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des bains-douches des années 30...

    On the road again

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • J'avais prévu de passer un samedi solitaire, comme d'habitude - mais cela ne me pèse pas tant je suis occupée. Aller à la médiathèque, aller au cinéma, faire un peu de shopping...

    J'étais en train de préparer un cake aux courgettes pour ce soir, quand le téléphone a sonné, et, surprise, c'était mon cadet. Seconde surprise, il m'appelait pour me proposer d'aller faire un tour à la foire de Bordeaux, qui a lieu en ce moment. Eh bien, pourquoi pas ?

    Il est passé me chercher en fin de matinée, et c'était la bonne heure pour éviter les bouchons autour du parc des expositions, et éviter l'affluence dans les allées de la foire. Nous avons pu flâner tranquillement, passer un long moment dans l'espace extérieur, où sont exposés les animaux - cette année la part belle est faite aux vaches et boeufs. Il y avait très, très longtemps que je n'avais pas senti cette bonne odeur de campagne, ni approché de si près des vaches. JB et moi réfléchissons depuis un certain temps à diminuer notre consommation de viande (si mon fils serait tenté de devenir végétarien, ce serait plus dur pour moi, qui ne boude jamais devant une bonne entrecôte) et le fait de voir les vaches et leurs grands yeux a encore ajouté à notre culpabilité.

    Au pavillon international, nous avons fait une halte assez longue, le temps de déjeuner indien, et végétarien justement, puis le temps aussi de négocier une jolie paire de boucles d'oreilles, demain c'est mon anniversaire et mon fils voulait saisir l'occasion pour me trouver un cadeau. J'ai trouvé ces boucles d'oreilles sur le stand, rudimentaire, d'un marchand touareg venu du Niger, et magnifique dans sa tenue traditionnelle, pantalon et tunique de basin bleu, et chèche turquoise. Nous avons ensuite traversé le hall des expositions, vu des cuisines, des fauteuils massants, des jambons et des saucissons, des cheminées, des légos, croisés des camelots, des commerciaux, des geeks... bref, tout ce qui fait le charme d'une foire exposition.

    Nous avons passé une très très bonne journée, il m'a non seulement offert des boucles d'oreilles mais également le déjeuner au restaurant, et quand à moi je lui aussi trouvé un petit cadeau pour son Noël prochain, ainsi qu'un joli cadeau pour mon ex-mari également pour Noël, chez un couple de créateurs faisant de très jolies choses (à découvrir ici ).

    Mon fils est formidable :-)

     


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  • Joli joli... c'est vite dit. C'est pour la rime.

    F - Finitions. Avec l'aide de mon ex-mari, j'ai fait quelques finitions dans l'appartement la semaine dernière. Quelques détails, des rideaux dans la chambre et la cuisine, une étagère supplémentaire dans la cuisine... quelques détails, certes, mais qui me font plaisir, car ils donnent un air vraiment fini à l'appartement, mon appartement que j'aime décidément beaucoup et dans lequel je me sens très bien.

    F - Fraises. Loukoum adore les fraises ! C'est rigolo, car la dentition d'un chat n'est pas du tout adaptée à manger des fruits et des légumes, et ce n'est pas simple pour elle, mais elle est bien "accro" aux fraises. Je l'aide, en lui coupant en petits morceaux, ou en tenant la fraise pendant qu'elle la mange. Elle est contente, elle en ronronne de plaisir.

    F - Froid. J'ai froid. Pas au point de mettre le chauffage, que je n'ai quasiment pas mis cette année, mais au point de bien me couvrir quand je rentre, et de garder la couette d'hiver. En fait, il fait bon dans l'appartement, mais c'est ce temps assez instable, frais et souvent gris, qui donne une impression de froid.

    I - Impôts. Je suis seule, et n'ai rien à déduire. Une ligne à vérifier, un clic pour signer, et la douloureuse. Le montant à payer augmente encore cette année. J'avoue être découragée, surtout quand, autour de moi, un bon nombre de mes collègues paient bien moins que moi. Qui fait de la défiscalisation, qui se déclare mère célibataire mais ne l'est pas, qui fait du travail au noir... :-/ Je ne suis pas assez riche pour investir dans l'immobilier, ou ailleurs, et faire de la défiscalisation, et je ne suis pas assez pauvre pour ne pas payer d'impôts. Mes mensualités vont encore augmenter, ça va être compliqué si je passe à temps partiel et que mon salaire baisse.

    J - Jardin. Je fais comme si. Le thym a pris une belle ampleur, la ciboulette s'apprête à fleurir, le basilic sent bon. Les tomates ont mis de belles grappes de fleurs. J'ai même un plant de fraises ! Le tout dans des pots, plein sud, et ça pousse. Comme prévu, deux poissons rouges et une laitue d'eau sont venus agrémenter le mini-bassin. Ah, bien sûr, mon petit balcon-jardin est "bio". Pas d'engrais, pas de pesticides.

    M - Mai, le joli mai. C'est un mois que j'aime, à cause de mon anniversaire, du printemps et des jours fériés. C'est un mois que je n'aime pas, car la météo y est toujours incertaine. Il peut faire très beau, comme il peut faire très froid. Et moi, je préfère les choses sûres et certaines. Cette année, mai est plutôt moyen, frais, humide, rien qui ne me plaise vraiment.

    P - Parents. On était sur la mauvaise pente. Les dernières conversations (uniquement téléphoniques, je ne suis pas allée chez eux depuis le dimanche de Pâques) étaient brèves, tendues, parfois même désagréables. On allait droit dans le mur, et je n'aime pas ça. Je les ai appelé ce soir, en faisant l'effort d'être enjouée, de parler un peu plus, et de parler de choses plus positives. De fait, me parents se sont montrés eux-mêmes plus agréables.

    T - Travail. Mon travail me plait moins, il devient moins intéressant. Je ne sais pas comment ça va évoluer. M'ennuyer au travail, pour moi, c'est quelque chose qui ne me convient pas. La banque qui m'emploie prône la mobilité, en moyenne tous les trois ans. Cela nous a beaucoup étonné, lorsqu'on a découvert cela, et maintenant, six mois plus tard, on comprend mieux : le boulot est tellement compartimenté, dans une multitude d'équipes qui font des petits bouts de tâches, qu'il en perd tout intérêt. Du coup, pour retrouver un peu d'intérêt, les gens changent de boulot, ou d'équipe, pour retrouver un peu d'intérêt. Bien que j'aime le changement, je ne suis pas certaine d'apprécier ce mode de management :-/


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  • Ma soeur est arrivée hier soir avec un bouquet "de fête" comme elle l'a dit, roses et gypsophile, et j'adore les bouquets "de fête" :-)

    J'avais passé un bon moment à préparer le repas. J'avais la flemme, je l'avoue, de préparer une entrée, surtout qu'on mange tous un peu moins qu'autrefois.

    J'ai servi un cake aux poivrons, chorizo et noix, avec une salade de mâche, et en dessert, de petites crèmes au Carambar. Et c'était délicieux.

    L'avantage du cake, c'est que c'est un plat unique, qui peut se préparer et cuire à l'avance, du coup la cuisine est nette quand les invités arrivent, et je n'ai pas besoin de faire des allers-retours cuisine/salon pendant l'apéritif. Et on peut le déguster chaud, tiède, ou froid. J'ai une autre version, courgettes/carrés frais/lardons, qui n'est pas mal non plus. Bien pratique, ces cakes.

    Quand aux petites crèmes au Carambar, je suis bien contente, c'était la première fois que je faisais cette recette, et c'était très bon :-) Pas bien compliqué à faire, juste un peu bizarre quand les Carambar commencent à fondre dans la casserole et qu'on se retrouve avec une grosse masse compacte collée au fouet, j'avoue avoir eu un moment de panique en me demandant si cela parviendrait à fondre réellement... mais finalement, si, ça fond. Le plus difficile est la cuisson, au bain-marie, et c'est difficile d'évaluer quand les crèmes sont cuites, ni trop, ni trop peu. Je ne me suis pas trop mal débrouillée, car les crèmes étaient juste comme il faut. Le cake, lui aussi, était réussi - mais je suis toujours aussi peu rassurée sur mes talents de cuisinière.  Mais voilà deux recettes de plus à mon actif !


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  • Il y a quelques années, j'en avais photographié pas mal. Il m'arrive d'en trouver encore que je ne connaissais pas.

    Marteau


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  • Mini-jardin pour balcon, mais c'est déjà bien :-)

    Au jardin

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ciboulette, basilic et thym-citron, dans des boîtes... de lait pour bébé !

    Et deux plants de tomates, qui apprécient le soleil du sud, et portent déjà de petites fleurs.

    Au jardin


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  • Deux belles fresques, présentes depuis déjà plusieurs années.

    A cinq minutes de chez moi

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    A cinq minutes de chez moi


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  • J'ai profité du peu de circulation du jeudi de l'Ascension pour descendre du côté de Capbreton pour aller voir une de mes tantes. J'y suis allée avec JB, au volant de sa nouvelle voiture, bien plus confortable que ma Twingo. Mes fils ont hérité de leur père la passion des voitures, les chats ne faisant pas des chiens. Ca ne me plait pas, mais c'est ainsi. On n'a pas encore inventé la téléportation, hélas pour moi, qui ai peur sur la route, et puis ça m'agace un peu ce temps passé dans une voiture, même si regarder par la fenêtre convient bien à ma nature contemplative.

    Bon, ma tante. En pleine forme, complètement hypocondriaque et bavarde, c'est l'artiste de la famille. Chez elle, tout est beau, la maison, l'intérieur de la maison, les objets, la déco, et à l'extérieur, c'est pareil, on arrive et on est accueilli par une plage, sable fin et bois flottés, posés au bord du trottoir, et puis après c'est le jardin, et il est beau lui aussi, bien sûr.

    Au retour, puisque nous traversions les Landes, nous nous sommes arrêtés chez mon frère, et de cette visite là, je ne dirai rien, car je m'autocensure bien plus qu'on ne le pourrait croire sur ce blog. Je dirais juste que mon frère rêvait de changer de vie, et qu'il l'a fait.

    Il faisait particulièrement beau et chaud, hier, c'était une vraie journée d'été, ça faisait bien plaisir, et c'était une belle journée pour traverser les Landes, qui est un département que j'aime bien. Et à ce propos, il faut lire Mauriac.

    Puisqu'on est dans la famille, j'ai invité ma soeur à dîner demain soir. Ma soeur, qui a coupé les ponts avec l'ensemble de la famille, sauf moi (heureusement, car je n'aurais pu faire le deuil d'une soeur vivante), a elle aussi fait un choix, radical. Je ne le ferai pas, mais j'ai toutefois pris beaucoup de distance par rapport à mes parents. J'ai choisi de ne pas me couper de mes racines, mais je privilégie les contacts avec mes tantes plutôt qu'avec mes parents, et la psychanalyse m'a aussi aidé à prendre la distance nécessaire par rapport à ma famille, et réaliser que ma famille, ce n'est plus mes mes parents, ma fratrie et moi, mais que c'est moi, le père de mes fils, mes fils et mes petits enfants à venir. Il faut se tourner vers l'avenir, résolument.


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  • Aujourd'hui, je me suis offert, un peu en avance, mon cadeau d'anniversaire : une jolie coupe de porcelaine, avec, en son centre, une jolie composition de plantes grasses, écorces de pin et petits graviers blancs. Aussitôt rentrée, je l'ai déposée à l'endroit où je la voyais : par terre, sur mon tapis, à côté de ma table basse.

    Et je suis sortie, j'avais une course à faire.

    Je suis rentrée...

    La catastrophe.

    La coupe était vide, la terre, répandue partout sur le tapis, les plantes, en morceaux, éparpillées partout.

    J'ai attrapé Loukoum, lui ai flanqué une rouste dont elle se souviendra. Et j'ai nettoyé, nettoyé et re-nettoyé le tapis, dont je doute qu'il retrouve sa teinte écrue originelle, la terre humide ça tache particulièrement. J'ai tenté de reconstitué un semblant de composition florale avec les restes des plantes, et j'ai nettoyé la cassette de mon aspirateur (c'est un sans-sac, il faut donc régulièrement nettoyer la cassette). J'ai passé un énième coup d'éponge sur le tapis, et j'ai re-flanqué une rouste à Loukoum, museau dans les plantes, histoire de lui passer l'envie de s'en approcher. Et, pour adopter le principe de précaution, j'ai attrapé La Chatte à qui j'ai fait subir le même sort.

    Saloperie de chats.

    Non, je ne suis pas méchante. Oui, j'aime mes chattes. Mais faut pas déconner : je n'ai pas l'intention de les laisser me ruiner toutes mes plantes d'intérieur (j'en ai déjà perdu quelques unes depuis que Loukoum est là). Et c'est moi le chef, et ça, il va falloir qu'elles le comprennent.


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  • Parfois, c'est juste une histoire de finitions. Et les finitions, c'est important. La majeure partie de la journée a donc été consacrée à des finitions, avec l'aide de mon ex-mari : poser un rideau dans ma chambre, un store devant la fenêtre de la cuisine, exposée plein sud, poser un meuble au-dessus du frigo pour finir l'aménagement des meubles, accrocher le tableau de la chambre qui était juste posé sur une étagère et que Loukoum avait déjà fait tomber deux fois...

    Evidemment, ensuite, j'ai dû faire un grand ménage, percer des trous ça fait de la poussière. Donc, aspirateur, et ensuite, lavage des sols. Et tant que j'y étais, j'ai lavé le dessus des meubles du haut, dans la cuisine, et puis, dans la foulée, j'ai lavé les rideaux du salon. Le plus difficile étant de les enlever de la tringle. Laver les rideaux du salon, c'est bien, je les remets en place tout juste sortis de la machine (elle essore bien, sans froisser), du coup ils parfument agréablement la pièce.

    Quand l'intérieur a été fini, je me suis attaquée au balcon. J'avais deux plantes, dont le bambou, a remporter dans de grands pots. Et évidemment, même en faisant attention, j'éparpille du terreau partout. En bougeant les pots, j'en ai profité pour balayer, il y avait des feuilles mortes partout, du coup, j'ai passé un grand coup de balai sur tout le balcon. Pour laver le sol, j'attendrais la prochaine pluie.

    Et après tout ça, j'avais encore la vaisselle à faire :-/

    Je suis crevée - et dire que je suis en vacances - et demain je dois me lever tôt : je descends dans les Landes voir de la famille, et je veux faire un gâteau pour l'occasion. Je me reposerai la semaine prochaine, quand je reprendrai le boulot ;-)

    En attendant, je suis fatiguée, mais contente, ces finitions rendent l'appartement encore plus joli et agréable.


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  • Aujourd'hui, j'ai accompagné JB à un entretien d'embauche. Oui, il a 24 ans, oui il a le permis, oui il a une voiture et oui, il aurait pu y aller tout seul, et d'ailleurs, d'habitude, il y va tout seul. Mais là, je suis en vacances, c'était dans un quartier compliqué pour se garer.

    Je ne suis pas obligée de le coocooner comme ça, à 24 ans. Mais ça passe trop vite, ça a passé trop vite, les rentrées scolaires, et d'autres trucs comme ça, c'est loin, je ne m'en souviens plus, et je pense surtout ne pas en avoir suffisamment profité. Donc, oui, j'avoue, je joue la mama, italienne espagnole ou juive, je m'en fous, l'essentiel c'est ça, qu'il ait 5 ans ou 24 ans, JB, c'est mon fiston, et je profite de chaque moment que je peux partager avec lui (surtout qu'en plus, pour l'instant, il n'y a pas de copine pour me faire concurrence !).

    Bon, bien sûr, je suis restée dans la voiture. Je n'allais quand même pas l'accompagner jusqu'à l'entrée de la boîte, porter son cartable et lui faire un bisou, hein ;-)


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