• J'ai quitté la terre ferme ce week-end pour aller à la découverte de l'île d'Oléron. Temps très froid, et malheureusement gris dimanche, mais je suis toujours partante pour une nouvelle découverte. Surtout quand la découverte se fait avec des amis ! Encore merci, Isabelle et Fabrice, pour ces moments partagés avec vous :-)

     

    Oléron, ce sont des paysages très contrastés. Des viviers à poissons, des marais salants, des villages aux maisons blanches aux volets pastels, des vignes aussi.

    Oléron, c'est aussi Vauban et océan...

    oleron
     
    Des milliers d'oiseaux...
     
    comme une broderie dans le sable...
     
     
    Et là, dans le couchant, mais oui, là, ce petit point au milieu...
     
    c'est évident, non ? mais si ! Fort Boyard ! Et oui, entre Oléron et Ré, l'île prison.
     
    Je n'ai pas pris beaucoup de photos ce week-end, mais je ne le regrette pas, j'ai préféré passer ces moments avec mes amis qu'en tête à tête avec mon APN !
     
     

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  • brume

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  • Lundi, je quittais le boulot à 17 heures, une fois n'est pas coutume. J'étais décidée à aller, en suivant, à la salle de sport. Arrivée là-bas, salle comble, ce qui ne m'inspire pas, j'aime y être plutôt tranquille. Alors je suis rentrée chez moi, mais comme j'avais mauvaise conscience et qu'il faisait encore jour, j'ai chaussé mes baskets et suis allée au centre-ville, j'avais deux-trois trucs à y faire.

    Je suis partie non par la route, mais par la coulée verte qui borde la ligne de tram. L'air était frais et piquant, le jour finissait, c'était bien, cela m'a fait du bien de m'aérer. Je suis arrivée au centre ville alors que le jour s'était bien assombri, presque entre chien et loup, les voitures avaient allumés leurs phares. Je suis arrivée par le pôle intermodal. Le pôle intermodal, il s'est construit ces dernières années. Au début, quand la municipalité en a parlé, je ne voyais pas bien de quoi il s'agissait. Et puis le projet a pris forme - et il faut rendre hommage aux édiles qui ont su monter un projet intéressant. Parallèles, les rails du train, du tram, et le couloir des bus. A la nuit tombante, à cent mètres de distance, c'était beau. Un train venait  de s'arrêter, deux rames de tram stationnaient, un bus aussi, chacun ses lumières, et le camaïeu de gris bleuté des différents transports sur le pavement minéral légèrement brillant. La ville a aussi son charme.


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  • coin
     
    Un coin de rue comme un autre, même pire, pas vraiment beau. Au centre, un petit papier collé attire mon attention.
     
    coin2
     
    Sans commentaire....

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  • Passage à vide. Depuis un certain temps. Dans la journée, ça va, au boulot je donne le change, par pudeur, par politesse. C'est le soir, et le matin quand je me lève, que c'est difficile. Je me couche le soir avec de sombres pensées, et je me réveille avec. Rien ne va bien, dans ma vie, argent, boulot, santé, enfants, parents... et avec tout ça je me trimballe une p***** de culpabilité. Je culpabilise sur tout, pour tout. Je m'en veux de ne pas plus vivre mes fils, de ne plus me souvenir de leur enfance, je me demande si j'ai été suffisamment présente, j'en doute. Je m'en veux de ne pas avoir été gentille avec mon ex-mari, d'avoir été désagréable avec mon ex-belle-mère, décédée depuis. Je m'en veux de ne pas aimer mes parents, d'être agressive avec ma mère diminuée par la maladie. Je m'en veux de me plaindre.

    Peut-être que si j'étais deux, ce serait plus facile, plus léger, quelqu'un avec qui parler, échanger, mettre les choses en perspective. Une épaule, hein, ce serait bien, une épaule.

    Alors j'écris sur mon blog.


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