• 186 marches. Je  les ai montées, en dépit de mon vertige, ça n'a pas été très facile. Mais je n'ai pas regretté. La vue était simple - l'océan d'un côté les pins de l'autre - mais l'air y était doux, et l'ambiance - la vue attire les touristes - sympa.

    Un artiste y exposait ses oeuvres, des masques faits d'objets ramassés sur la plage, en mobile au milieu de la cage d'escalier, rien à voir avec Calder et ça gâche le beau colimaçon :-(

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  • phare


     


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  • J'avais dit à ma mère : "si je rencontre un mec sympa, tu restes à trente mètres derrière moi".  Tu parles ! je rencontre un mec sympa et la voilà... qui me colle et monopolise la conversation ! La peste soit des mères.

    (Je suis quand même repartie avec un numéro de téléphone !...)

     

    C'est l'amour à la plage

    Ahoum tcha tcha tcha


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  • contis


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Contis, la rue principale. Et au bout de la rue...

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    L'océan. "La mer" comme quand j'étais enfant. C'était toujours comme ça, ce bout de bleu au bout d'une rue. Le bleu, puis l'odeur d'iode qui sautait au nez quand on descendait de la voiture. Et puis le léger vent de la mer, aussi.

    Contis, c'est l'enfance qui me revient. Une toute petite station balnéaire, une rue principale qui donne sur l'océan, puis une dizaine de petites rues tout autour. 100 habitants l'hiver, bien plus l'été quand le camping (il n'y en a qu'un) se remplit. Des boutiques de souvenirs, d'"articles de plage", épuisettes, parasols, bouées...Un poste de maîtres nageurs sauveteurs, tout de même, et un petit parking pour les estivants. Grosse surprise : je m'attendais à une plage surpeuplée, comme en Gironde, mais quand je suis arrivée j'avais toute la plage à moi pour planter mon parasol ! Il est vrai que début juillet, la saison n'est pas encore commencée. Je suis partie quand les estivants commençaient à arriver, le gros de l'activité sera, comme ailleurs, du 14 juillet au 15 août. Mais même au plus fort de la saison, Contis reste une toute petite station, rien à voir avec les plages girondines, ou les autres plages landaises. A l'écart de villes importantes, Contis est encore méconnue, et c'est tant mieux.

    Cette semaine a Contis a été un vrai bonheur, ou, plus exactement, les deux premiers jours, puisque ma mère m'a rejoint ensuite. Deux jours seule, sans voisins, sans angoisses, sans montre, sans bruit, sans voiture, sans rien à faire. Aller à la plage, bronzer, prendre un café et une gauffre... vacances, vacance. Seule avec moi-même, et le face à face ne se passait pas si mal. Je réitèrerai l'expérience volontiers. Je regrette de ne pas avoir les moyens d'y repartir en août.  Un vrai coup de coeur, Contis.


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  • Et voilà encore une nouvelle version du système d'administration du blog, hébergé par Kazéo. Déjà les précédentes avaient été un peu galère à prendre en main, mais cette nouvelle version - que je découvre en rentrant de vacances, avec un ordi qui rame de plus en plus - est presque incompréhensible. J'ai bien cru que je n'arriverai jamais à écrire et mettre en ligne un nouvel article ! Je tente donc un essai.

     

    Bon, apparemment ça marche. Mais par contre, comment ajoute-t-on un commentaire ? mystère...


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