• Je ne suis pas sur Facebook, bien que j'y ai créé, sous un pseudo "évenementiel" une page pour préparer l'anniversaire de ma mère. Et à ce propos: je trouve l'interface Facebook à chier. Absolument pas intuitive surtout, du coup je ne m'en sers pas et je présume que je vais revenir à la bonne vieille invitation papier assortie d'un "répondez svp". Facebook, je ne vois pas l'intérêt d'y être, être l'ami de, et devenir l'ami de l'ami de, bon c'est rigolo cinq minutes, mais à part ça ?

    Mais aujourd'hui, dans ma messagerie mail, j'ai reçu une invitation à regarder le profil Facebook d'un type que je ne connais absolument pas. Déjà, ça, ça me gonfle. Mais le pire, c'est que dans l'invitation à rejoindre Fbk, il y a, en bas de la page, un pavé intitulé "D'autres personnes que vous connaissez peut-être sur Facebook". Et, de fait, il y a quatre personnes que je connais de près (un de mes fils) ou de loin (en particulier deux filles avec qui j'ai communiqué il y a très longtemps). Le point commun de ces personnes : j'ai communiqué avec chacune d'elles via ma messagerie. Comme je ne crois pas au hasard, du moins en informatique, je pense donc que les messages d'invitation de Facebook contiennent un spyware qui permet de recouper les informations contenues dans ma boîte de réception mail avec la liste des gens inscrits sur Facebook, cela afin de personnaliser le message d'invitation reçu, et le rendre plus attractif, et attirer d'avantage d'inscrits.

    Quand bien même ce spyware ne ferait que ça (car rien ne dit qu'il ne fasse que cela), ça me met en colère. Déjà, le principe de ce site, ça me fait gerber (parce qu'il faut bien se rendre à l'évidence : Facebook c'est un Big Brother communautaire, George Orwell n'avait malheureusement pas imaginé ce pire là), alors que je puisse en subir l'influence, que dis-je, la surveillance, alors même que je n'y suis pas inscrite, ça me met hors de moi. Je pense que je vais me fendre, demain, d'un petit coup de téléphone à la CNIL...


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  • Désormais, quand on me donne un numéro de téléphone, je le saisis directement et immédiatement sur mon téléphone, et sur la carte SIM qui plus est, au lieu de le noter sur un vague bout de papier destiné à se perdre au fond d'un de mes sacs à main, avant de se perdre, tout court. Et peut-être même que je vais finir par remettre la sonnerie de ce foutu téléphone, et non plus le laisser en permanence sur vibreur.

    Ceci dit, n'allez pas croire que je vais aller jusqu'à avoir aussi un téléphone fixe. Et pourquoi pas une télé aussi, hein ?


    Directement et immédiatement
    ... aïe aïe aïe, je file vraiment un mauvais coton, moi.


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  • Je ne suis pas encore passée aux choses sérieuses (détapisser, enduire, peindre) que je suis déjà crevée. Ca promet ! J'ai fait des photos de l'état actuel, j'ai pris les mesures un peu plus sérieusement aujourd'hui, hier j'ai nettoyé la kitchenette de fond en comble, et aujourd'hui j'ai joué du lave-pont sur la terrasse pour voir si je pouvais en nettoyer les grands carreaux (graviers lavés) dont certains sont vraiment noirs. Le résultat est encourageant, je profiterai du prochain orage estival pour m'y mettre vraiment à fond, car il faut le faire à grande eau, et l'arrosoir, et les allers-retours pour le remplir à la salle de bain, c'est pas vraiment pratique. Quand à la kitchenette, il me faudra parfaire le degraissage d'hier par un dégraissage supplémentaire, mais c'est déjà bien mieux que cela n'était, et j'ai pu y ranger qq bricoles.

    Prochaine étape : étoffer le blog spécifique (j'ai créé un nouveau blog, rien que pour le studio et sa rénovation, mais pour l'instant il est vide), et commencer à détapisser. De ce côté là, de vilaines découvertes hier et aujourd'hui : il faudra que j'enduise plus que prévu (il y a plus de craquelures que je ne le pensais sur le plafond), et je crains d'avoir de mauvaises surprises (fissures) une fois les trois couches de tapisseries enlevées ! Côté "administratif", il faut absolument que je me renseigne le plus vite possible (le temps, le temps !) sur le FAI le plus adapté à ce que je veux. En attendant, je suis crevée, donc, zou ! au lit.


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  • Le retour... Il est vrai qu'il y avait longtemps ! j'en ai pourtant pas mal en stock, notamment ceux pris en photo à Paris, mais voilà, mes journées sont trop courtes, mes nuits aussi. Disons que j'ai de quoi m'occuper pendant les longues soirées de l'hiver, pour autant qu'on ait un été cette année....


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  • J'y suis déjà "officiellement" depuis aujourd'hui, pour :

    - EDF (une heure de prise de tête au téléphone, bravo les serveurs vocaux et les plateformes téléphoniques)

    - ma mutuelle (changement directement sur l'interface web assuré, en deux minutes)

    - le syndic de copropriété (un mail et c'est bon)

    - mon employeur (un mail à la drh)

    - mon assurance habitation (un coup de fil un peu longuet - tiens, il faudra que je pense à l'assurance voiture)

    Il me reste encore plein de démarches, la sécu, la carte grise de la voiture, les impôts (semaine prochaine), la banque (il leur faut un justificatif de domicile, ça va donc attendre ma première facture EDF)...

    Comme je n'y vis pas encore, je n'arrive pas encore à réaliser que maintenant, j'ai un "chez moi". Mais tout de même, ce soir, j'ai regretté de ne pouvoir y rester !

    Prochaine étape incontournable, et qui augure déjà une sacré prise de tête : trouver l'accès au net le plus adapté !



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  • Je ne suis pas encore passé à l'agence récupérer les clefs, parce que de toute façon j'en avais, forcément, un trousseau. Alors ce midi, sandwich dans une main, mètre dans l'autre, avec l'aide d'une copine toujours là quand il faut, je me suis précipitée, on s'en doutera, pour prendre enfin les mesures de mon (tout petit) royaume.

    Un peu frisquet sur la terrasse ce midi, mais ce soir quand je suis revenue, c'était grand soleil, jusqu'au milieu du studio !

     
    Prise de vue depuis le milieu du couloir/entrée, vue sur la partie principale du studio (je n'ose parler de "pièce"), avec la terrasse en arrière-plan, où je n'ai pu m'empêcher de mettre quelques plantes et fleurs, dès ce soir. Tout au fond, le toit de tuiles sur lequel je donne, c'est un peu morne comme point de vue, mais nettement mieux qu'un immeuble, et au moins, c'est la tranquilité assurée, de ce côté là (je ne sais encore ce que ça donne, dans l'immeuble).
     
    Ensuite, ce qui explique que j'ai choisi ce studio là, outre la terrasse et l'exposition en plein soleil, c'est sa situation : je peux tout faire à pied, banque, commerces, marché de plein air, commerce bio, mairie, cinéma : tout est dans un rayon de 100 m. Seule la médiathèque est un peu plus éloignée (1 km, au jugé) mais elle reste accessible à pied aussi. Idem, à proximité immédiate : gare, bus, tram. Seul point noir : pour aller à mon boulot, c'est un peu galère, je vais encore découvrir une autre façon de conduire : dans les embouteillages cette fois-ci ! Il faut donc que je me renseigne sur la ligne de bus susceptible de m'y emmener (au moins, je pourrais lire pdt ce temps là !).
     
    Par contre, la résidence est dans un état lamentable, les charges sont elevées, et je pense que financièrement, ce n'est pas une bonne affaire. Mais je reste sous le charme de l'endroit tout de même. Le studio est, quand à lui, sale, et la kitchenette mal foutue et obsolète. Mais pour la refaire, je pense qu'il me faudrait un budget d'au moins 2000 euros, main d'oeuvre comprise (surtout la main d'oeuvre en fait !) et ça m'embête de mettre une telle somme dans un studio que je ne revendrais pas au prix où je l'ai acheté, la crise immobilière étant passée par là.
     
    En tout cas, je vais vite, très vite m'y installer, quitte à dormir sur un matelas gonflable, et dans les vapeurs de peinture, les premiers temps....

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  • J'étais sur la rocade bordelaise, dans l'espèce de grand S de la  bifurquation vers l'autoroute de Bayonne. Détendue, en train d'écouter un truc un peu groovy sur Radio Nova et là, j'ai brusquement réalisé que, justement, j'étais détendue. Détendue sur la rocade, en plein traffic, navigant d'une voie sur l'autre tranquillement, doublant les files de camions sans problème, sans l'ombre d'une palpitation ou d'une transpiration de frayeur. Finalement, ces cinq mois de route quotidienne, ça m'aura bien servi, sur ce plan là, au moins.

    Et puis en rentrant, sur ma messagerie, un email de l'agence immobilière : ma locataire a rendu les clefs. Drôle de sensation. Ca m'a fait penser à la rando de samedi dernier : on n'avait qu'un plan, aucun repérage n'avait été fait, donc aucune idée du terrain ni des distances. Il y avait trois boucles, on est parti pour la première, puis comme on n'avait mis qu'une heure, on a attaqué la deuxième, et arrivés au bout de celle-ci on se sentait encore bien, alors on fait la troisième aussi ! Et bien là, c'est un peu pareil, je me sens au bout d'une boucle, et je vais en attaquer une autre. Cette boucle devrait être plus courte, mais plus intense : réfection du studio ! Avec un beau casse-tête, celui de caser le contenu d'une bonne vingtaine de cartons (au jugé) dans 25 m². Une "boucle" bien sportive en perspective ! 

    Bon, par quoi je commence (récupérer les clefs, contacter EDF, appeler l'assurance habitation,...) ?

    (et avec tout ça, ne pas oublier de faire ma déclaration d'impôts !)


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  • Je travaille dans un service informatique (vieille rengaine) mais LE sujet qui occupe toutes les conversations en ce moment, ce n'est pas la nouvelle tablette pc. Oh que non. Ce qui nous rend bavards, en ce moment, toutes et tous sans exception, ce sont... les bébés poules d'eau du jardin d'agrément.

    Au centre du bâtiment où je bosse, on a un espace vert assez sympathique, bien entretenu, avec qq arbres et arbustes, un vieux gros chêne, un petit étang avec des poissons rouges et des tortues. Chaque année, au printemps, un héron voisin vient rééquilibrer le nombre de poissons rouges en prélevant sa dîme. On observe tout ça tranquillement en allant fumer ou pauser.

    Et ce printemps, et le mystère reste entier quant à leur provenance, on a vu apparaître une poule d'eau. Puis en fait il s'est avéré que la poule d'eau, et bien en fait elle était deux. Et depuis la semaine dernière, cinq délicieuses petites boules de plumes noires courent après les deux adultes. Toutes farouches, elles ne se laissent pas approcher, et je n'envisage même pas de pouvoir les prendre en photo, du reste elles ont fort à faire pour échapper à la férocité des pies qui nichent dans le chêne.

    On en est tous complètement gagas !


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  • "Docteur, je suis stressée.

    - Prenez une bonne cuite."

    Authentique. (consultation d'hier soir)


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  • ... le pylône vu quotidiennement ! Mais ce matin, il jouait les grands timides !


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  • (il va falloir que je me décide à la créer, cette rubrique "je travaille dans un service informatique..." !)

     

     
    Bon, d'accord, Garfield et Tom, c'est pas encore Terminator. N'empêche, ils commencent à prendre du caractère...

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  • Envoyer un mail à mes fils, en espérant qu'ils le liront... Je n'ai pas voulu les perturber, compte-tenu de la situtation avec leur père. Je me suis effacée ces derniers longs mois, pour éviter qu'ils se trouvent pris dans le conflit. Je conserve l'espoir qu'ils pourront peut-être comprendre, devenus parents à leur tour.


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  • Parce que, finalement, ça peut toujours être pire, et que samedi matin, eh bien samedi matin, je me suis trouvé confrontée à une certaine violence, inattendue, mon ex-mari d'un côté, mon père de l'autre, et tous les deux après moi. Destructeur.

    Et j'ai beau essayer d'aller de l'avant, positiver, me bouger... ce week-end, je touche un peu le fond.

    Même la rando de 5 heures 30 (!) samedi après-midi, autour de Camarsac, ne m'a pas redonné l'énergie dont j'aurais besoin. Même si, au demeurant, je suis très contente d'avoir réussi une aussi belle rando, objectivement. De très beaux paysages (l'Entre-deux-mers bordelais est magnifique, vignes, côteaux, champs, bois), l'impression, à certains moments, d'être "ailleurs", la satisfaction de tenir le rythme, c'était au moins ça. Mais je n'ai pas réussi à évacuer les suites de la scène du matin. Je dors mal, je n'ai plus envie de manger, je suis lasse, sans énergie, et puis, remonter, encore une fois, pourquoi faire, hein ?

    Un tour à vélo, hier soir, parce qu'il me fallait aller pleurer, et que la solitude des bois, ça tombe bien. Autre ambiance, une piste un peu inquiétante, et puis une rencontre, juste en rentrant, qui m'a un peu effrayée : un sanglier traversant la piste. Bien sûr, encore une fois, j'ai regretté, d'avoir le nez ds le guidon et mes soucis : je ne l'ai vu qu'au dernier moment, quand il avait déjà traversé et qu'il regagnait le bois, je n'ai pas eu le temps de le détailler. Mais la silhouette, massive, m'a fait un drôle d'effet quand même, je n'avais pas du tout envisagé que je pourrais croiser ce genre de grosse bestiole-là, mais finalement, je trouve ça assez représentatif de ce qui m'arrive, ma vie est une piste pas toujours très rassurante, depuis qq mois, que de grosses bestioles noires peuvent traverser dangereusement.


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