• Je bosse désormais dans un secteur un peu sensible, dans le secteur financier en fait, aussi je ne m'étendrai pas trop sur mon nouveau boulot, dont, pour l'instant, je n'ai d'ailleurs pas vu grand chose. J'étais, depuis  mon arrivée ici, dans une équipe où je faisais des tâches assez simples, en attendant que la formation commence, lundi prochain. Je peux quand même dire que je brasse pas mal de papiers, dans les dossiers des clients, et ça fait un peu bizarre. La formation va m'apprendre à décrypter ces différents documents, et je vais un peu rentrer dans la vie de ces clients, dans leur histoire personnelle, dans leur façon de vivre. Je rassure tout le monde : les clients le savent, bien sûr, et il y a une finalité à cette démarche, importante pour eux. Cela me renvoie aussi bien sûr à ma propre vie, à ma propre façon de fonctionner financièrement (puisque c'est de ça qu'il s'agit). C'est intéressant, c'est pour cela que j'ai d'ailleurs postulé pour cette mutation ; c'est l'occasion pour moi d'apprendre un nouveau métier,  dont j'espère qu'il me permettra ensuite de pouvoir remettre le pied à l'étrier professionnellement, dans l'entreprise qui m'emploie ou à l'extérieur. C'est aussi, accessoirement, une façon de toucher du doigt qq chose qui est généralement tabou, à savoir le rapport de chacun à l'argent, c'est un peu comme lever en cachette un voile interdit sur qq chose de mystérieux et d'inconnu.


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  • Eh bien il y a même la rue... des ferrets !

    A ce propos, qui sait ce que sont les fameux ferrets de la Reine ? Langue au chat, hein ? surtout si on s'en réfère aux multiples versions des Mousquetaires de l'histoire du cinéma : chaque scripte a donné sa version de ce qu'il ou elle ne faisait qu'imaginer.

    Aujourd'hui, on a Google (Google est mon ami) et Wikipédia, qui nous apprend que

    Les ferrets sont de petits objets de fer ou d’autre métal, et particulièrement les petits embouts métalliques fixés à l’extrémité d’un lacet ou d’une aiguillette. On les accrochait aux lacets des souliers en guise de décorations.

    Les ferrets pouvaient se présenter sous forme de petite broche de métal, ornée de pierres précieuses comme le diamant, et rivée à l’extrémité d’un lacet ou d’un ruban.

    Je ne suis pas bien sûre que cela nous avance beaucoup, car si je me souviens bien des Trois Mousquetaires lesdits ferrets étaient au nombre de douze et étaient  portés par la Reine sur sa robe. Et ce n'est pas la peine de tenter Google images (j'ai essayé, je vous laisse essayer à votre tour...) ! Le web a ses limites :-/ on attendra donc une prochaine version ciné du roman pour avoir une nouvelle version de ce que pouvait bien être ces ferrets !


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  • J'ai fait mes courses, hier soir. Plus de cafétéria ou de brasserie pour déjeuner le midi au boulot, ici il faut s'emmener son repas. Déjà que je ne suis pas très forte pour me faire à manger, programmer des menus, cuisiner... et il faut maintenant que je m'occupe de mes repas deux fois par jour ! mais ça commence à venir. Dans les rayons de l'hyper, je me force un peu pour réfléchir à des menus, anticiper mon appêtit, et le contenu de mon frigo. Presque une révolution pour moi, il y avait des années que ça ne m'était pas arrivé. Je ne m'en sors pas trop mal, de même que je ne craque pas pour ce qui me ferait grossir sans me nourrir. C'est une de mes craintes, ça, pour l'avoir vécu il y a qq années, compenser par la bouffe mon mal être, me remplir plutôt que manger. Pour l'instant, ça va. Pas trop de plat cuisinés non plus. Par contre, les grands absents de mon panier sont les fruits et légumes frais. Les fruits parce que j'en mange très rarement, je n'aime les fruits qu'en compote - et je mange donc une compote chaque midi ; les légumes parce je n'aime pas acheter les légumes en supermarché, ils ne me paraissent jamais assez frais, mais je n'ai pas trouvé  de primeur à proximité, ni de marché. Tout de même, la semaine prochaine, j'essaierai de prendre de quoi faire une soupe, pour changer des soupes "en brique" que je me fais quasiment tous les soirs - mais pour moi qui ne sais pas cuisiner les soupes "en brique" proposent des choix très alléchants (je vous recommande la "potiron-chataigne" de Liebig ; et non, je ne me lançerai pas dans la confection de ce genre de soupe moi-même, d'autant que je ne trouverai jamais de potiron assez petit pour moi toute seule !).

    Et puis ce soir, j'ai rangé mes papiers. Depuis mon arrivée à Pau, j'avoue que je les avais entassés sur ma table, et j'en avais reçu ! ouverture du compteur edf, déménagement de ma ligne france telecom, autant de courrier qui s'était rajouté au courrier habituel. Dans tout ce que j'avais à penser ces dernières semaines, j'ai oublié de faire mon changement d'adresse à la Poste, et de faire suivre mon courrier. Mais il parait que je peux le faire par internet, le tout c'est de trouver le temps de le faire - j'ai fort à faire au travail en ce moment, j'apprends un nouveau métier et ce n'est pas une mince affaire :-)

    Demain soir, si je n'oublie pas, je vais faire une séance d'essai de gym dans une salle de danse qui propose aussi de la gym d'entretien. Je ne fais pas assez d'activité physique en ce moment. A Pessac je marchais beaucoup plus souvent, je faisais pas mal de vélo aussi, et même un peu de gym de temps en temps. Depuis que je suis ici, j'ai l'impression de ne pas assez me remuer, de me dépenser, et cela me manque. Sans compter qu'avec l'âge, je me ramollis ;-)  Non que je pense vraiment à mon capital séduction ! je suis plutôt dans la phase comme un lendemain de beuverie, quand on se dit "plus jamais, mais plus jamais !" mais bon, l'hiver ça va, mais l'été quand on remet les petits tops, c'est plus joli quand les bras sont fermes (après la rubrique people de l'autre jour, aujourd'hui c'est la rubrique beauté, mon blog va devenir un vrai journal féminin !).

    Mais c'est pas tout : j'ai sommeil. Et en ce moment, quand le réveil sonne, c'est difficile (un des trucs les plus désagréables que je connaisse : se réveiller et être fatigué). Autrement dit : bonsoir !


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  • Pas vraiment une crise d'angoisse, plutôt un sentiment diffus d'anxiété, tout ce matin, en particulier parce que la rando de cet après-midi prenait un tour incertain en raison de la météo, mais pas seulement. Il faut que je me résolve à admettre, à presque 50 ans, au fait que je ne suis pas normale, ou, plutôt, que je ne fonctionne psychologiquement pas normalement. Ca me blesse, ce constat d'anormalité. Le comble : j'habite à présent en face d'un centre hospitalier... psychiatrique. Ce voisinage m'interpelle. Ces gens, de l'autre côté de la barrière, ils sont pris en charge, dans leurs maladies, leur fragilité, leurs angoisses, leurs excès, parfois. J'aimerai bien, parfois, une telle prise en charge, lâcher prise. Mais j'ai un boulot, ce qui est structurant, dans l'organisation de la vie quotidienne, ce qui m'autonomise, financièrement, et ce qui est extrèmement important, socialement. Cela me permet de paraître "normale", de vivre normalement en apparence, même si finalement maintenant je  ne me sens pas "normale". Je me sens fragile et je me pose des questions,  celle-ci surtout : est-ce que cette fragilité, apparue ces dernières années, va s'accroître, comme la fissure d'un mur qui s'agrandirait ? Peut-être faut-il que je regarde aussi ce qui est positif : je fais face à mes difficultés, je gère mes affaires correctement et si je procrastine sur certaines choses, ce ne sont que des choses minimes : je n'ai pas encore défait mes cartons. Mais ça c'est encore autre chose, ma non-envie de m'installer ici, je fais de la résistance, en quelque sorte. Je ne dérape qu'émotionnellement, donc. Etre seule n'arrange rien. Je ne peux m'oublier dans les échos de respirations autres, de préoccupations familiales. Seule, je suis seule avec moi-même, mes questions, mes pensées trop bruyantes, mes angoisses augmentées par la peur qu'elles me débordent, et de ne savoir y faire face, seule. Etre seule ne me dérangerait pas si je n'étais pas mal, si j'étais "normale". Ou est-ce qu'encore une fois je prends le problème à l'envers ?


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  • Champs Elysées, ce soir sur la 2, en fond sonore pendant que j'écris.

    Grand Corps Malade. J'aime beaucoup cet artiste, dont j'ai regardé un concert la semaine dernière, même si je trouve que ses textes sont trop souvent assez tristes, si on les écoute bien. J'avais emprunté un de ses albums à la médiathèque, je l'avais trouvé beau, mais déprimant. Sympa de le voir en duo avec Aznavour, Aznavour dont je regrette de ne jamais m'être offert un billet pour un concert. 

    Aznavour, ça ne me rajeunit pas, et Champs Elysées non plus. Mais ce qui me rajeunit encore moins, c'est d'être capable de me souvenir de Michel Drucker lorsqu'il était... journaliste sportif, à l'époque de l'O.R.T.F. ! ... :-)


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  • Un tour aux Floralies nationales de Pau, aujourd'hui, sous un beau soleil. Le théme en était la rose, mais au bout de trois jours d'expo lesdites roses étaient un peu défraîchies, hélas. Rien d'exceptionnel, quelques choses sympas tout de même, une animation musicale style comédie musicale (et à voir "en vrai", c'est bien !), et qq stands originaux.

     
    Beaucoup de monde pour assister à ces floralies, mais beaucoup de gens d'un certain âge, accompagnant des gens d'un âge certain. J'ai réalisé qu'à Bordeaux, on voit peu ce genre de choses. Dans nos grandes métropoles, nous cachons nos gens âgés, et les oublions dans des maisons de retraite.
     
    S'il est speedé au volant, j'ai eu l'occasion de constater que le palois est, au quotidien, d'une gentillesse extraordinaire. De la pharmacienne qui m'a spontanément expliqué, hier soir, où et comment donner ma nouvelle adresse à la sécu,  au monsieur de ce matin sur le parking qui m'a fait signe qu'une place était en train de se libérer, je trouve ça agréable et je réalise que la réputation de froideur des bordelais est donc qq chose de vrai, que je n'avais pas réalisé jusqu'à présent, ne connaissant pas grand'chose d'autre.
     
    L'après-midi n'étant pas finie, j'ai poussé jusqu'au château, pour profiter du beau soleil. Je compte bien le visiter un de ces jours, et ferai à ce moment là un article plus détaillé. Fin d'après-midi tranquille dans ce quartier ancien, où un piano qui jouait en plein air égayait une placette ancienne entre le château et le parlement de Navarre. Platanes centenaires, fontaine aux lions, ruisselante, vue imprenable sur les pyrénées... je pense que je viendrai souvent, aux beaux jours ! 
     
     

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  • Parce que je ne résiste jamais à cet exercice, dès lors qu'un support un peu particulier s'y prête. En l'occurence, le soubassement du château d'Henri IV. De circonstance, parce qu'il parait que du côté de mon père, on pourrait descendre d'un petit batard semé par le Vert Galant.

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  • BLEU ! telle était la couleur du ciel aujourd'hui au dessus de Pau. Et, cet après-midi, sans nuages ! Bien sûr, je n'en n'ai pas profité, j'ai enragé de ne pas faire le pont car, pour le peu que j'en ai vu, ce soir, en rentrant, les Pyrénées étaient splendides, avec leurs sommets blanchis étincelants sous une lumière automnale très belle. Le château du bon roi Henri était lui-même magnifique ce soir, sa pierre blanche dorée par la lumière du soleil de la fin d'après-midi et j'ai regretté de ne pas pouvoir m'arrêter pour vous en prendre une photo. J'espère que ce n'est que partie remise, et qu'un de ces dimanches je retrouverai un tel soleil et une telle lumière ! 

    Le bon roi Henri ayant laissé une empreinte très forte par ici, il y a, non loin de chez moi, une rue du Vert Galant, et une rue du Panache Blanc. Et oui ! mais mon étonnement est lié aux rues les plus proches de chez moi. Porthos a  en effet une rue à son nom, Athos et Aramis ont leurs impasses, Buckingham s'est vu attribuer une rue également... je n'ai pas encore vu de rue Milady, mais je peux vous assurer que Constance Bonacieux n'a pas été oubliée (une impasse). Cela m'a d'ailleurs laissée rêveuse. A la limite, D'Artagnan, il s'agit d'un personnage ayant réellement vécu, mais Constance Bonacieux ? Pourquoi pas une rue Bond, James Bond ? Ou une avenue Harry Potter, chaque génération ayant ses héros ? A ce propos, j'ai revu recemment Le Grand Blond avec une chaussure noire (avec Mireille Darc et la fameuse robe !), et Le Retour du Grand Blond, et j'avoue avoir passé un bon moment (et revu avec plaisir Jean Carmet, Michel Duchaussoy,...). Côté littérature, je fais aussi dans le super (!) héros, puisque je relis Arsène Lupin contre Herlock Sholmès, qui est délicieusement désuet. Et d'ailleurs, une rue Arsène Lupin, j'aimerais bien. Mais peut-être est-ce déjà le cas, en pays de Caux, du côté des  falaises d'Etretat !


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  • 2035 m'a paru être un grapheur palois assez prolifique, même si la météo ne m'a pas permis de prendre d'autres photos de ses oeuvres, qu'il s'agisse d'autres graphs avec cette version moderne d'Anubis ou juste des déclinaisons du nombre 2035.


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  • Trois de plus, et un Quetzacoatl supplémentaire, aussi.

     


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  • c'est qu'il va pleuvoir, quand on ne les voit pas, c'est qu'il pleut. (proverbe local)

    Après avoir pu profiter de la fameuse vue sur la chaîne des Pyrénées depuis le boulevard... des Pyrénées, presque sous le soleil  je suis donc rentrée sous la pluie de ma première balade en vélo dans Pau. Et, au risque de paraître négative, je vais dire franchement ce que je pense : Pau, c'est petit, moche, et je risque de m'emm*** ferme rapidement.

     


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  • Mais j'ai l'impression que c'est pareil pour tout le monde en ce moment ! Je découvre le chauffage électrique, ça ne m'inspire pas trop, surtout dans un appartement dont le séjour est tout en hauteur, puisque j'ai en effet une chambre supplémentaire en mezzanine, où je dors actuellement, la chambre étant encombrée de... cartons ! Mon appartement est donc un T2 bis, ça me change de mon studio. D'ailleurs, bien que je dorme sur un matelas de 90 posé à même le sol de la mezzanine, je n'ai même pas songé à réouvrir mon canapé-lit ! L'escalier est un peu raide, mais j'aime bien cette impression de dormir sous les toits, le bruit du vent et de la pluie, bien qu'assourdis, est agréable. Il ne s'agit pas d'un immeuble ancien, au contraire, il s'agit d'un petit ensemble résidentiel récents de petits immeubles de deux étages, qui se donnent des faux airs d'immeubles anglais, ou vaguement parisiens,avec des toits d'ardoise. Ce pourrait être très sympa si le quartier était moins résidentiel, et plus vivant, avec des commerces de proximité, c'est ce qui me manque le plus. Les vastes pelouses (sur lesquelles, rappel du syndic, il est interdit de jouer, de promener les chiens) m'importent peu, j'aurais préféré un peu moins de verdure et un peu plus de vie. Pour en revenir au chauffage, je n'ose pas trop pousser les radiateurs, de peur d'une note d'électricité astronomique, total, j'ai un peu froid, bien que je sois pourtant habituée à vivre, l'hiver, à une température inférieure à 20°. Et, en ce moment au travail, je suis dans un bureau où il fait plutôt froid, cette impression de froid à longueur de journée est un peu désagréable, d'autant que ces dernières nuits, je n'ai pas bien dormi, je me suis réveillée en fin de nuit, envie de faire pipi, rêves désagréables, un peu froid, aussi. Je suis donc contente de ne pas mettre le réveil demain matin. J'aurais bien aimé faire le pont, vendredi, mais je supporte mal les jours sans travail, trop peur de me retrouver face à moi-même et mes angoisses lorsque je ne travaille pas. J'ai un peu honte de dire ça ; mais le fait de vivre seule me renvoie à des angoisses existentielles difficiles à supporter. L'anti-psychotique me permet de les rejeter en arrière-plan en ce moment, et j'apprécie ce secours là. Samedi je me suis inscrite, sur OVS, à une sortie aux Floralies nationales, au parc des expositions de Pau. J'aurais pu y aller seule, tout comme je vais habituellement seule au ciné, mais je n'ai pas envie de faire trop de choses seules, j'ai un peu peur de me renfermer sur moi-même. Dimanche prochain, nouvelle rando, et j'espère que le temps sera un peu plus clément que dimanche dernier. Par contre, j'espère que le programme du ciné d'art et d'essai de Pau (deux salles seulement, programmation maigre, mais maigre !) sera attractif, j'ai très envie de voir un bon film (et, si possible, au chaud !).

     

     

    Pffff. Je me relis, et je me trouve gnangnan :-(


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  • Ce qu'on appelle les côteaux, par ici, ce sont les collines autour de Pau, qui alternent champs et bois de feuillus. D'après ce que j'ai pu en voir dimanche dernier, les dénivelés peuvent être assez costauds, les pentes sont bien raides et la terre, lourde et argileuse, glisse bien lorsqu'elle est mouillée. D'où la question que je me pose régulièrement : je ne suis pas équipée de chaussures de randonnée, juste d'une paire de bonnes chaussures de course, qui prennent l'humidité lorsque je marche dans de l'herbe, mais qui ne glissent pas. On me conseille régulièrement d'acheter une paire de "vraies" chaussures de rando, mais j'ai encore constaté dimanche que les personnes qui en sont équipées glissent dans les descentes sur terrain humide, alors que ce n'est pas mon cas. Glisser ou avoir les pieds éventuellement mouillés ? Evidemment, si je randonne l'hiver, les pieds mouillés, je risque de ne pas apprécier longtemps, mais j'y suis bien à l'aise, dans ces chaussures...

    En tout cas, je ne pensais pas faire une rando si rapidement, mais je me suis inscrite sur un site qui en propose des accessibles, à des horaires qui me conviennent (le dimanche après-midi, je trouve ça pratique, je n'aime pas devoir mettre mon réveil le week-end), et pour le coup, j'ai pensé à toi, Isabelle, qui m'avait vanté les randos à faire par ici  :-)   Le ciel était gris, on a eu pas mal de pluie, mais, surtout, le (petit) groupe était rapide et je n'ai pas osé trop m'arrêter pour peaufiner mes photos. Total, elles sont ratées, c'est dommage car les paysages étaient très beau, avec tous ces arbres parés de leurs couleurs automnales. Ormes, chataigners, noyers, et d'autres aussi que je ne connais pas, quelques champignons, aussi, mais trop peu à mon goût, j'aime bien la diversité des champignons. J'espère que le temps sera plus clément dimanche prochain, parce que je ne suis pas encore équipée pour randonner l'hiver, et cette fois-ci, j'ai alterné les moments où j'ai eu un peu froid et d'autres où j'ai eu trop chaud, engoncée dans mes multiples épaisseurs, et j'ai trouvé ça un peu pénible.

     
    A part ça, j'ai découvert aujourd'hui que mon appart a une "vue sur les pyrénées" ou, du moins, aurait. Entre la vue sur les montagnes et moi, il y a de belles maisons aux très beaux terrains, plantés d'arbres fort âgés, fort respectables et malheureusement, fort persistants côté feuillage, cyprès et cèdres, qui me bouchent la vue sur les cîmes déjà enneigées. C'était bien la peine de quitter Bordeaux pour me retrouver avec la vue bouchée par des arbres ! Il me tarde donc le prochain beau dimanche, que je puisse aller me promener sur le fameux Boulevard des Pyrénées, qui domine la vallée paloise avec une vue imprenable sur la chaîne pyrénéenne. Et là, je prendrai mon temps pour les photos ! 

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  • Bien sûr, je l'avais déjà entendue ! Mais je ne l'avais jamais écoutée avec attention. Or, finalement, je trouve qu'il y a bien des choses qui me ressemblent, dans cette chanson  ;-)

    (Hélas !)

    Elle panique
    A l'idée d'en faire trop
    De vieillir prématurément
    Elle panique
    A l'idée d'être de trop
    Ou de s'ennuyer un instant

    Elle a peur que tu t'en ailles
    Peur de tes représailles
    Elle a peur pour son p'tit frère
    Elle a peur
    Peur pour son derrière

    Elle panique..

    Fous-moi la paix, ma sale caboche !
    Tu ne me feras pas sombrer
    Je t'aurai à grands coups de pioche
    Si tu ne laisses pas tomber

    Elle flippe qu'on ne l'aime plus
    Elle balise de s'aimer un jour
    Ça pressure, ça la tue
    Ça lessive dans son tambour

    Elle veut pas finir seule et moche
    Elle veut qu'on s'inquiète pour elle
    Elle veut pas voir de la bidoche
    Ni se laisser des poils sous les aisselles

    Elle panique...

    Fous-moi la paix, ma vieille caboche !
    Je suis rincée
    Tu ne me fous pas la pétoche
    Et je ne veux plus t'écouter

    Fous-moi la paix ou j' te taloche
    Je me sens toute démantelée
    Sur moi, tes questions ricochent
    Inutile de te fatiguer


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  • Face au chateau d'Henri IV, la porte de cet hôtel particulier ancien méritait déjà la photo.



     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mais le marteau (dont on notera qu'il est bien, en effet, du genre masculin) nécessitait un gros plan !

    Une fois n'est pas coutume, intriguée par la roue du mécanisme, j'ai voulu l'essayer. Mais ce n'est pas possible, il a été soudé, probablement pour éviter d'être utilisé, ou peut-être même volé ?


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