• Surtout que j'ai une sale tête, en ce moment, j'ai une espèce de conjonctivite (?) qui me gonfle un oeil, c'est pas très sexy - mais pratique pour dissimuler le fait que je n'ai pas le moral. Pas pratique du tout, par contre, pour me maquiller. Comme ça fait une semaine que ça traîne, j'ai pris rdv demain chez un médecin.

    Cet après-midi, ça allait un petit peu mieux, et puis ce soir, ça va mieux encore. La séance chez le psy a été humide mais j'en suis sortie allégée, et puis mon fils aîné m'a appelée, et ça m'a fait plaisir, bien sûr.

    Le CE de l'entreprise organise, au printemps prochain, un voyage au Costa Rica. Finalement, ça me tente. Pourquoi le Costa Rica ? ben justement, pourquoi pas. A suivre.


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  • Internet, c'est super, et Google est mon ami. Malheureusement, si on y trouve tout (et n'importe quoi), tout ne s'y trouve pas encore. Je cherche ainsi, en vain, la date de l'ouverture de l'autoroute. J'ai trouvé les tarifs (erk, 20 euros... l'aller !) et juste un article qui indique qu'il devrait ouvrir jeudi, mais rien de vraiment confirmé (et carrément rien sur le site officiel) Donc, vendredi, je laisserai faire mon GPS, et on verra bien...


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  • En meme temps, je m'interroge, je sais que mon mal être vient aussi du fait de ma solitude, et je sais bien qu'un retour sur bordeaux ne changera pas ça. Oui, ma famille et mes amies seront là. Mais cela ne changera rien à mes crises d'angoisse quand je rentre dans un appartement vide, à mon sentiment de vacuité quand je pense à ma vie coupée d'une cellule familiale. Je pense toutefois qu'être ici aggrave les choses, mais j'ai peur de me tromper une fois encore. Je ne me fais plus confiance. En attendant, je suis mal, et fatiguée, aussi, réellement, de ces questions et de cette tension permanente qui m'habite, car j'ai toujours peur de craquer, vraiment, complètement, ça m'est déjà arrivé, par le passé, et il n'y a rien de pire.Je ne veux pas revivre ça, je me verrouille, mais ce n'est pas vraiment une façon de vivre, n'est-ce pas. C'est juste une façon de survivre. Il faut donc que je trouve une solution - et une bonne, pour une fois.


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  • (désolée pour la grossièreté, mais je ne vois pas comment la qualifier autrement)

    Je pensais venir pour trois/cinq ans. Je pensais tenir deux/trois ans. Je pensais qu'un an serait le grand maximum. Je ne sais même pas comment je pourrai tenir six mois. J'ai passé une bonne partie de la journée avec les larmes aux yeux, me réfugiant de temps à autre aux toilettes quand je ne pouvais pas les empêcher de couler. Bien sûr, difficile de se concentrer dans ces conditions là, la journée d'aujourd'hui, toujours en formation car celle-ci a finalement été rallongée de deux jours car nous n'avons pas vu certaines spécificités, a également été marquée par une grande difficulté à suivre les explications de la formatrice, et j'ai bien senti que je pourrais perdre les pédales. Je maîtrise, pour l'instant je maîtrise encore, mais donc très difficilement. Je maîtrise à grand'peine les larmes, je maîtrise à grand'peine l'envie de hurler "mais sortez-moi de là". J'arbore une sorte de sourire/rictus figé, pour essayer de retenir tout ça, mais je ne suis pas bien sûr d'avoir donné le change à la formatrice. Evidemment, cela s'accompagne d'un sentiment de dévalorisation absolu. Dans le journal interne à la société, il y a eu qq articles consacrés aux mutations récentes sur Pau, et ça donne qq chose comme "je m'éclate dans mon nouveau boulot et  Pau est une ville super accueillante". Certes, les béarnais sont sympathiques, j'ai eu l'occasion de le dire. Mais je ne trouve pas mes marques dans cette ville. La question est donc maintenant : comment sortir de cette situation là, par le haut, je veux dire le moins mal possible. Il faudrait que j'aille voir le DRH pour lui dire que le boulot me convient, mais pas le lieu, et j'avoue (je ne suis pas à une contradition près) que j'ai du mal à franchir le pas, je ne sais pas comment je vais arriver à exprimer ça, c'est ridicule, une mutation, surtout demandée par moi, ça doit forcément être bien se passer - le mot échec existe rarement dans le monde du travail, et alors c'est très négatif. J'ai honte, bien sûr, et puis c'est donc encore un échec, mais pas des moindres, avec déménagement en plus ! Et puis je suis employée, pas cadre, et on a toujours l'impression que les employés doivent rester humbles, ne pas se tromper en disant : j'ai postulé mais finalement ça ne me convient pas. Ca me semble être sacrilège et, en bonne fille élevée dans une soumission totale à l'adulte, à l'autorité, j'ai du mal  à franchir ce pas. L'éducation est pesante...  Je pourrais, si je tiens jusque là, attendre mon rdv de demain soir avec le psy, mais c'est difficile, surtout que chaque jour qui passe me parait me condamner à rester éternellement ici, une sensation bizarre que je ne sais décrire autrement. Je n'irai pas à la gym, ce soir, je suis dans une sorte de mal-être, de tension qui me fait me replier sur moi-même, pas envie de parler, pas envie de bouger, j'ai même un sentiment de peur que je ne comprends pas, ce n'est pas de l'angoisse, c'est différent, une peur de l'avenir peut-être, peur de rester coincée ici je crois.


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  • Après la crise du samedi, il y a la rando du dimanche :-/   rien d'extraordinaire, et c'est finalement toujours pareil, des bois, un peu de route, de temps à autre une vue sympa sur les Pyrénées au loin. Cette fois-ci, c'était quand même nettement mieux que les fois précédentes : il y avait du soleil ! Hier j'ai renoncé à aller au ciné, personne devant le ciné (d'accord, les gens étaient tous occupés par leurs achats de Noël), et je ne me voyais pas affronter une salle vide une nouvelle fois :-(  il faut bien regarder en face l'évidence : je déteste vivre ici. Vivre, déjà, ça me pèse souvent, alors ici...

    Vendredi prochain, back to Bordeaux, week-end express. Vendredi matin, je remonte, rdv chez le notaire à 14 h, avant ça il faut que je passe au studio, j'ai le relevé edf à faire et vider la boîte aux lettres, aussi. Puis déjeuner avec une ancienne collègue-copine. Vendredi soir, je dois dîner avec mon fils cadet, N°1 étant quand à lui à Dijon pour voir une copine, j'espère que la route se passera bien pour lui. Ca ne m'étonnerait pas que, depuis qu'il a le permis, il ait déjà fait plus de kms que moi en bientôt 30 ans (encore que, avec ces A/R Bordeaux/Pau, je me rattrape). Samedi, j'ai rendez-vous avec ma banquière, et puis je ne sais pas, j'aimerai voir une copine aussi (Gabrielle, tu es là ?), et puis samedi soir, peut-être chez mon frère (tu ne m'oublies pas ?), et puis dimanche après-midi, back to Pau :-(  l'autoroute n'est pas encore ouvert, je vais encore devoir affronter les files de camion sur les départementales et nationales. En espérant qu'il fasse beau. En arrivant sur la rocade bordelaise, je penserai que Pau a au moins qq chose de valable, sa circulation fluide. Le tout, entrecoupé de crises d'angoisses, probablement, puisqu'elles sont perpetuellement sous-jacentes et ne demandent pas grand'chose pour remonter à la surface, rentrer dans l'appartement vide, envisager un déplacement, il m'en faut peu désormais. Cette semaine je vois un psychiatre, deuxième rendez-vous, on verra bien ce que ça donne, le premier n'ayant été qu'une prise de contact. Au pire, si on s'ennuie, on pourra toujours parler de Bordeaux, il y a vécu et exercé  pendant trente ans !


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  • L'artiste s'appelle Claire Schmid, elle m'a gentiment donné l'autorisation de photographier une de ses sculptures, exposées actuellement à Pau. J'ai trouvé cette Ténacité très émouvante, et comme je suis vraiment pas dans un bon jour, je me suis retrouvée les larmes aux yeux devant. La posture, et la texture, et la matière qui rend la sculpture tellement humaine...


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  • Du samedi matin, mais de la plupart des autres jours, aussi. La crise d'angoisse est là, me tiraillant les poumons, le désespoir, aussi. Je me sens coincée, je suis coincée.Dans la vacuité de ma vie - je n'ai pas de ces loisirs créatifs qui aobutissent à qq chose, je ne vois pas ce que je pourrais faire à tricolter une écharpe qd j'en ai déjà une et que je vis actuellement dans une espèce de simplicité quasi monacale, la plupart de mes vêtements  et de mes chaussures étant toujours en cartons, de même que la majeure partie de mes affaires, dont finalement je n'ai pas besoin, livres, vaisselle... mon appartement n'est pas très éloignée d'une cellule monastique, parce que je n'ai pas envie de grand'chose. Pas envie, pas faim, en repli sur moi-même , mes angoisses, mon mal être. Seule, je fais face à une espèce de néant qui m'horrifie.On a rarement ce genre de chose, en famille, on se laisse guider par un train-train rassurant, le cerveau est en veille, ou accaparé par milles petites choses du quotidien. Seule, je vis pour moi, et j'ai du mal avec ça. Je pourrai me consacrer aux autres, aller faire du bénévolat ? je ne sais pas trop où,quand, j'avoue aussi franchement que çe ne me tente pas. Je me sens terriblement coincée, aussi, ici. La ville est petite, mal fichue, je  n'ai plus mes repères  habituels, les cinémas à portée de jambes ou de tram, les commerces de proximité, les jolies petites rues à explorer., mon vélo.. plus rien de tout cela, et pour combien de temps, encore, ce vide, et puis cet hiver qui ne fait que commencer ? j'ai parfois la tentation d'aller voir le drh et de mettre un terme à tout ça. Je n'ose pas, ce serait un nouvel échec, et puis c'est de ma faute, j'aurais dû mieux réfléchir, je savais bien que pau, c'était une mauvaise idée, sans les copines,déjà, mais maintenant en fait c'est non seulement sans les copines mais aussi sans le ciné, et puis ce désespoir quasi permanent - au mieux c'est une sorte de mal être, et la peur d'être coincée là longtemps, et la peur de ne pas tenir. Je vis dans une tension permanente, avec un cerveau qui fonctionne en permanence, et un corps qui n'aime pas ma vie, qui mange parce que c'est l'heure de manger, parce que c'est structurant de manger, et de manger à table, avec une petite bougie parce que c'est plus joli, parce que je veux toujours essayer d'aller de l'avant, de peur de tomber trop bas. Est-ce qu'à bordeaux ce serait mieux ? un peu mieux, peut-être, j'y retrouverai au moins mes repères, mes amies, mes connaissances, mais j'y serais quand même seule avec moi-même.


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  • Mes cheveux changent de couleur. C'est surprenant, rigolo, même, de trouver sur ma brosse à cheveux des cheveux d'une  couleur tellement différente de mon châtain terne habituel. Et puis cette nouvelle couleur, qui se mélange peu à peu à mon ancienne couleur, adoucit mon visage. C'est une expérience que je trouve agréable. Bien sûr, ce serait bien plus rigolo s'il s'agissait d'une couleur inattendue, violet ou bleu par exemple. En l'occurence, bien sûr, il s'agit de blanc, de blanc ou de gris, d'ailleurs en fait je ne sais pas bien, je me demande s'il n'y a pas les deux couleurs. Du blanc, c'est certain.

    Ca ne me chagrine pas. J'ai décidé de ne plus colorer mes cheveux il y a deux ans, parce que justement j'aimais déjà bien mes premiers cheveux blancs, ma mèche blanche sur le front en particulier (même si, je le précise au passage, la petite photo qui orne mon blog n'est absolument pas la mienne, mais celle de Malgorzata Foremniak, dans le film Avalon de Mamuro Oshii). Bref, je vieillis, mes cheveux passent donc au blanc, mais je ne vis pas mal la chose, parce que cette nouvelle couleur est, donc, mieux  que le châtain terne et, il faut bien le dire, "pisseux", qui était le mien au naturel. Je n'apprécie pas de vieillir, mais je ne fais pas mystère de mon âge, j'ai 47 ans, alors les cheveux blancs, c'est un peu normal, quand même, et j'ai de la chance d'apprécier cette nouvelle couleur !


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  • D - E : ça m'est revenu. C'est : Dégâts des Eaux. Car en effet le dégât des eaux survenu dans le studio fin septembre n'est toujours pas réglé, ou, plus exactement, les travaux de réfection de la salle de bain ne sont pas terminés. Ils l'étaient, dixit la société de travaux, sauf que le futur acheteur, à qui j'ai déjà remis les clefs pour qu'il le fasse visiter aux futurs locataires, a constaté que les lés de tapisserie, mal collés, étaient déjà tombés par terre. Donc me voilà à régler le problème, à distance, donc par téléphone, ce qui m'agace fortement. Je suis surtout furieuse de constater qu'un professionnel peut faire un aussi mauvais boulot, sous prétexte que, le studio étant vide, personne n'est là pour surveiller son boulot, et que comme le travail est payé par l'assurance, personne n'ira regarder de trop près la qualité du boulot effectué. Lamentable.

    Moral : je rassure tout le monde, c'est remonté.

    Noël : commencé mes achats ce soir. Je regrette l'ambiance des noëls d'autrefois. Cette année, je vais fêter noël avec mes parents, le 24, puis avec mes parents, frères, et fils, le 26. Ambiance un peu délicate car ma soeur ne souhaite plus participer aux réunions familiales, en raison de l'attitude de mon père à son égard. Je ne sais pas quand je verrai ma soeur maintenant. L'an prochain peut-être... Pas sûr que mes parents, âgés et malades, fassent un sapin. J'espère que si, quand même, parce que sinon, bonjour l'ambiance du réveillon, seule avec eux...

    Télé : finalement je ne me suis pas noyée dedans, hier soir. J'ai mis France Culture, il y a en ce moment une émission consacrée à Stephen King, le soir. 

    Température : sans vouloir casser le moral des parisiens, dont il parait qu'ils étaient sous la neige aujourd'hui, ici il faisait qq chose comme 17° ou 18° au soleil ! Je crâne, je crâne, pas trop quand même, il parait que dès demain, nous repartons vers le degré zéro !

    Watts. J'en consomme trop, si j'en juge au relevé que je viens de faire sur mon compteur, comparé à l'estimation EdF. Total, j'ai baissé d'un cran les radiateurs de l'appartement, et mis une veste supplémentaire, ce soir  :-(


     


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  • Bottes. J'en ai trouvé une paire. En 36, parce qu'en 35, ce n'est même pas la peine de chercher, ça n'existe pas. Mais ce 36 là n'est pas trop grand, et mes mollets gringalets ne flottent pas trop dans ces bottes. Mais évidemment, maintenant que j'ai des bottes le temps s'est radouçi  :-)

    Ciné : je laisse momentanément tomber le cinéma d'art et d'essai, pas assez rigolo, il faut bien le dire, pour le cinéma grand public. Derniers films vus : Red, avec Bruce Willis, et Potiche, avec Catherine Deneuve. Et je louche sur l'affiche de Machete pour samedi prochain.

    Déprime : ça va mieux depuis hier. Pourvu que ça dure.

    D - E   dans la journée j'ai pensé à un truc qui utilisait les lettres D et E en même temps, mais ma mémoire défaille, je ne  me souviens plus de quoi il s'agissait. Zut (avec un Z).

    Mec. Oh la la, celui de dimanche soir est peut-être un peu collant. Comment refuser de donner son numéro de téléphone à un mec qui le demande sans avoir l'air coincée, méfiante ou carrément anormale ? eh voilà, je me retrouve déjà avec un message ce midi. Bon, d'accord, il est pas mal et sympa. Mais c'est pas d'un mec dont j'ai envie, j'ai envie d'être bien en moi-même.

    Travail. J'attaque la 3ème et dernière semaine de formation à mon nouveau boulot. Ca va, et ça me fait plaisir de sentir que ça va, que je comprends. Ces dernières années j'en étais vraiment arrivée à douter de mes capacités, de concentration, de compréhension, etc (pourtant, mon trimestre de tentative de fac, il y a deux ans, avait donné de bons résultats). Je ne comprends pas tout, bien sûr, c'est particulièrement complexe, chaque dossier client est différent, et on continue à se former sur le terrain longtemps encore après la formation théorique. Mais ça m'intéresse, et ça aussi, c'est bien, vu l'état d'esprit dans lequel je débarque à Pau, je craignais de ne pas arriver à m'y intéresser, et de courir droit à l'échec.




    l

    Téléphone. 50 minutes avec ma soeur à l'instant. De quoi me faire redescendre au 36ème dessous. Si si, ça s'est bien passé. N'empêche, 36ème dessous.

    Télé. Vite, lavage de cerveau.



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  • J'ai (momentanément/dorénavant ?) horreur des week-ends. Je préfère la semaine, je me lève, je me prépare et je vais bosser. Bosser, c'est structurant. Au moins pour moi. La semaine, c'est déjà assez pénible, ce face-à-face quasi continuel avec moi-même, mais le week-end, c'est insupportable. Hier, cerise sur le gâteau, je me suis retrouvée, au cinéma (ce n'était pas la même salle, mais le même ciné, dont il semble que toutes les salles soient pareillement sales, puantes et glaciales), absolument seule, dans la salle. Même quand j'allais voir des films "bizarres" (dixit mes ex-collègues), ça ne m'était jamais arrivée. Et ça fait un drôle d'effet, surtout dans un CGR. Week-end difficile, donc,  crises d'angoisses et crises de larmes, mais je ne vais pas m'étendre là-dessus. La rando de cet après-midi ne partait pas très bien, non plus, groupe plutôt bof-bof, et bois détrempés (mes baskets sont en train de tourner dans la machine à laver, je ne suis pas sûre qu'ils en ressortiront blancs), puis finalement un des garçons s'est mis à discuter avec moi, et j'ai fini la rando avec une invitation à boire un verre vendredi prochain, et une proposition pour le réveillon du 31 décembre... les invitations m'importent peu, mais le type était sympa et ça m'a fait du bien, de discuter un peu, et puis un peu de légèreté dans le quotidien pesant qui le mien en ce moment. La rando s'est terminée dans le soir tombant, face aux montagnes, et ça aussi, c'était bien.
     
     

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  • Ou presque. Mais les sapins artificiels, avec boules et guirlandes électriques, ornent déjà les bureaux. Comme beaucoup d'adultes, je n'aime pas trop voir Noel approcher, c'est devenu trop commercial (consomme-t-on vraiment tout ce que les grandes surfaces mettent dans leurs innombrables publicités ?), sans parler de ce que ça signifie en matière de relations familiales, c'est le moment où ressurgissent les vieilles blessures, et si l'on est seul, c'est encore plus triste. Déjà, avec la nuit qui tombe tôt... J'aime bien, tout de même, cette fête des lumières, et, plus encore que d'habitude, j'allume de petites bougies dès que je peux. Pas de sapin pour moi, désormais, mais je décorerai tout de même mon appartement de quelques boules colorées. Et, tout de même, ces sapins kitch et multicolores dans les bureaux sont bien sympas à regarder !


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  • Je suis actuellement en formation, pour apprendre mon nouveau métier. Ensuite, je serai affectée dans une équipe. Parfois, on me demande si je sais dans quelle équipe je serais, ou qui sera mon manager. Et je trouve ça très confortable de répondre non, de ne pas savoir, et surtout d'aborder cette future affectation sans a-priori ni appréhension ! 


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