• Le confinement....

    M'a fait réfléchir, je l'ai déjà dit, à mon chez-moi, ou plus exactement à la localisation de mon chez-moi. L'habitat collectif, H24, c'est pesant. Le quartier pauvre et populaire, avec ses corolaires que sont la saleté, le bruit et, dans une certaine mesure, la mixité culturelle (traite moi de raciste, je t'invite à venir passer le prochain ramadan chez moi et on en reparle), on en touche vite les limites.

    J'ai donc passé quelques semaines à m'imaginer gentiment vivre ailleurs, à la campagne, dans un de ces jolis petits villages du sud de la Gironde, avec de grands champs et beaucoup de pins qui sentent bon et tiennent bien chaud l'été. 

    Et puis voilà que le week-end dernier a été particulièrement pluvieux, de vraies intempéries, les rivières ont débordé, au point que les petits villages qui me plaisaient tant ont tous été inondés. Bah oui, c'est pas pour rien que les bergers landais, ils avaient des échasses.

    Bon, mettre assez d'argent de côté pour prévoir des pilotis à la maison de campagne !


  • Commentaires

    1
    Isabelle
    Mercredi 20 Mai 2020 à 21:20
    Choix cornélien s’il en est ! Les campagnes manquent en plus de médecins. En somme, où que l’on soit, il y a toujours moyen que quelque chose pèche quelque part ! Je te sens plus citadine que rat des champs. Isabelle
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