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Et si...
...au lieu d'appeler les gens à la grève, alors que plus grand monde ne peut se permettre de perdre une journée de salaire et de déplaire à son patron, les syndicats changeaient de tactique ?
S'ils donnaient par exemple le mot d'ordre "le 10 septembre, envoyez une lettre de mécontentement à l'Elysée !" ? En se basant sur le nombre de manifestants estimé - au plus bas - pour les cortèges d'aujourd'hui, cela ferait 150 000 courriers qui viendraient engorger le service postal présidentiel. Une vraie belle pagaille, non ? A condition que les médias jouent le jeu (pas sûr) pour relayer l'évênement, cela pourrait faire du bruit !
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