• Ben j't'le dis, ya des fois, ça chute.


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  • J'étais en train de me lamenter, et pas forcément très gentiment (ya des fois, je suis agacée), au téléphone avec une copine hier soir "à pau, la cuisine de l'appart' est toute vide, et je suis toute seule et pas assez costaude pour l'aménager, ouinnnn". Ma copine, en pleine session de formation de... formatrice, m'a répondu "mets en place une solution de contournement". C'était le mot du jour. J'ai eu grand'peine à ne pas lui répondre "solution de contournement, mon c**" et je lui ai répondu, assez désagréablement "quelle solution de contournement quand on est une petite et faible femme, qu'on débarque seule dans une ville inconnue, même pas assez importante pour avoir un Ikea ?". En fait c'est mon père qui a trouvé la solution, dans la communication suivante : "s'il n'y a pas d'Ikéa à Pau, va acheter les meubles dont tu as besoin à Ikéa Bordeaux, et fais-les transporter dans ton déménagement." Il suffisait d'y penser.


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  • Début de journée difficile, je me lève, j'avance, je continue, pour quoi, pour qui.

    En attendant, comme un brave petit soldat, je fais mes cartons.

    En attendant quoi, qui. En fait rien.


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  • Il y a toujours un moment où tu donnerais cher pour le trouver là, sur ton paillasson, peut-être même avec un bouquin de fleurs à la main (les clichés hollywoodiens ont la peau dure), au minimum avec des excuses à la bouche. Mais non, la vie réelle c'est pas ces clichés à deux balles, et de toute façon, à quoi ça servirait, hein.


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  • Saturnin et plaisanteries des collègues mises à part, le moral est flageolant, les soirées sont longues sans internet ni tv, heureusement j'ai appris par hasard que la médiathèque vient de recevoir le roman dont est inspiré le film Morse, qui m'avait transcendé il y a déjà plusieurs mois au ciné. Il est pour l'instant déjà en prêt, je viens de le réserver, et j'espère qu'il reviendra de prêt avant mon départ pour Pau... En attendant j'alterne un recueil de nouvelles de Chris Offutt, Kentucky Straight, et un thriller de Ian Pears, Le Secret de la Vierge à l'Enfant. J'ai toujours autant de mal à me concentrer sur toute lecture, quelle qu'elle soit, et le bouquin de Offutt n'a rien pour remonter le moral, situant les actions de ses nouvelles dans une communauté nord-américaine extrèmement pauvre, dans une nature dont la rudesse et l'hostilité ont fini par déteindre sur les habitants des lieux. Heureusement je m'endors vite, bien emmitouflée dans la couette recemment achetée - les nuits sont devenues fraîches, nous sommes passés brusquement de l'été en hiver, c'est surprenant !


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