• C'est une légèreté, c'est ça, une légèreté, en dépit de la fatigue et des aléas du boulot. Une certitude que cela va, bien, et puis ce léger sourire aux lèvres, aussi, qui t'accompagne toute la journée.

    Et tu prends le temps d'apprécier, parce que tu en reconnais la valeur.


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  • C - Changement. Ca y est. On a commencé, au travail, à prendre en main les nouveaux outils informatiques, à traiter les premières demandes qui nous sont transmises. Tout en continuant à maintenir les applications sur l'ancien système. C'est compliqué. Passer d'un système à l'autre en permanence, devoir monter en compétence sur de nouveaux outils, ce n'est jamais simple, les procédures changent elles-aussi, tout le monde est un peu paumé, le nombre de "ça marche paaaaas" monte en flêche, notre stress aussi... On sait qu'on va en baver pendant plusieurs mois, voire toute l'année. Et, le pire, c'est qu'il ne faut pas espérer une reconnaissance salariale pour les efforts fournis. Non, parce qu'en plus il faut s'estimer heureux d'avoir conservé notre boulot...

    B - Boulot, dont on s'aperçoit qu'il va perdre beaucoup en intérêt... Notre service avait un large périmètre d'activités, cela ne sera plus le cas, et en plus ce qu'on fera sera également moins intéressant... mais bon, il parait qu'il faut s'estimer heureux d'avoir conservé notre boulot...

    G - Général. Du reste nous ne sommes pas les seuls, les autres services aussi font le même constat : les tâches les plus intéressantes, c'est dans les services du siège parisiens qu'elles se font. Oui, je sais, ils auraient pu fermer le site bordelais...

    M - Marasme, marasme ? non, ça va. Après tout, j'ai suffisamment d'expérience pour savoir que les choses peuvent évoluer d'une façon inattendue. Et puis, oui, malgré ce que j'ai l'air d'en dire, je suis quand même sacrément soulagée d'avoir conservé mon emploi.

    M - Moral. Donc oui, j'ai le moral, en dépit de l'incertitude. J'ai besoin de faire un boulot motivant, enrichissant, et là, je ne sais pas où je vais. Mais comme dit l'autre "Dieu y pourvoira", et oui, j'y crois :-D

    F - Fatigue. Ca par contre, ça ne change pas. Et je sais que les mois à venir vont être crevants, la même fatigue que quand je suis arrivée dans ce service il y a trois ans, et que j'avais dû, rapidement, monter en compétences sur le système informatique. La clé de la réussite, c'est les glucides lents au menu, pour nourrir le cerveau ! Et prendre l'air aussi souvent que possible.

    Y - Yoga. Dans ces conditions là, le yoga est bienvenu. J'y trouve quelque chose que je ne m'attendais pas à y trouver, à savoir le dépassement de moi-même. Hier soir, je me suis retrouvée sur la tête, pieds en l'air, il m'a fallu dépasser ma peur de me casser la figure et de me faire mal, et quel plaisir d'y arriver.


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  • Août 2005. La station de métro Villiers, dont je sors toujours en riant, avec mon amoureux du moment, parce que je me trompe systématiquement de côté. C'est le mois d'août - et le mois d'août est doux aux amoureux, dans Paris déserté par les parisiens. La station Villiers et, en surface, son carrousel qui tourne, tourne, tourne... comme tournent les têtes des amoureux seuls au monde dans la plus belle ville du monde...

    Novembre 2006. Retour à Paris, seule, le temps de trois jours de formation. Il fait nuit, il fait froid. En fin de journée, je débouche du métro, pour aller au musée Cernuschi. Je tombe face au carrousel - je ne m'y attendais pas. Je croyais avoir tourné la page, le chagrin qui me remonte dans la gorge me prouve que non. Parmi les passants qui marchent, pressés, je suis là, immobile, submergée par le désespoir et les larmes.

    Janvier 2015. J'ai rendez-vous, je suis pressée, agacée de ne rien voir de Paris, je suis encore une fois en formation et les musées ferment trop tôt. Il fait froid, mais je ne me décide pas à prendre le métro de suite, je descends l'avenue de Villiers depuis mon hôtel près de la porte de Champerret, vers l'avenue des Batignolles. Il fait un froid terrible, le jour le plus froid de cet hiver. Arrivée en bas de l'avenue de Villiers, je vois le carrousel, illuminé dans la nuit tombante, et qui tourne, tourne, tourne.... et il peut bien continuer à tourner, je suis contente d'en voir les couleurs et les lumières, mais, baste ! il fait froid et j'ai autre chose à faire. Je m'engouffre dans le métro, adieu le carrousel, à une autre fois peut-être.

     

    Je n'avais pas d'appareil photo, en 2005. Il n'existe aucune photo de cet amour foudroyant et dévastateur. Lundi dernier, en repassant devant le carrousel, bien sûr, les souvenirs me sont remontés à la mémoire, bien sûr. Mon APN était dans mon sac, je photographie ma vie. J'aurais pu photographier le carrousel. J'aurais pu. J'y ai pensé. Pour le souvenir, pour la postérité, pour la beauté gaie des couleurs des lumières tournant dans la nuit... J'aurais pu, mais j'ai laissé mes mains frigorifiées bien au chaud au fond de mes poches.


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  • Mon rêve, c'est une cheminée. Mais en appartement, pas possible. Des soldes dans un magasin de décoration m'ont permis de trouver un bon compromis :

    cheminee

     

    Un grand photophore, simple mais beau, et qui a de plus un avantage : si Loukoum passe à côté, elle ne risque pas de mettre, comme c'est déjà arrivé, la queue dans les flammes ! (heureusement, juste une odeur de poils grillés, plus de peur que de mal)


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  • C'est finalement avec une bronchite que je suis revenue de Paris, et comme ce n'était pas suffisant, l'infection a également touché les sinus et les oreilles. Je me suis levée dans un état lamentable hier matin, fièvre et compagnie, pas pu aller bosser, juste prévenir ma collègue Chloé et ma chef que je n'irai pas bosser, et je suis retombée dans mon lit, jusqu'à deux heures de l'après-midi, heure à laquelle j'ai appelé SOS Médecins, parce que je n'étais pas capable d'aller jusqu'au bout de l'avenue chez mon généraliste. Heureusement, j'ai juste la rue à traverser pour aller à la pharmacie, et ça, c'est bien pratique, j'ai pu commencer le traitement dès hier soir, et aujourd'hui, après une matinée encore flageolante, ça va nettement mieux, même si je suis encore un peu dans le coton.

    Il faut le voir pour le croire : alors que j'ai dormi hier jusqu'en début d'après-midi, les chattounettes sont restées à mes côtés tout ce temps. Ou attendaient-elles que mon cadavre refroidisse pour me dévorer ?


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  • paris_verre_acier

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  • Ce début de semaine, je l'ai vécu au rythme parisien. En formation trois jours dans la grande ville, sur les systèmes informatiques que notre actionnaire utilise, et qui vont remplacer ceux que nous utilisions jusque là.

    Je n'avais pas envie de prendre l'avion, l'avion, c'est fatiguant, l'attente dans l'aéroport surchauffé et bruyant, les turbulences, la distance entre Orly et Paris, et, il faut bien le dire, maintenant je pense aussi aux risques d'attentats. Du coup, je suis partie dimanche après-midi, en train.

    J'avais le coeur gros de laisser mon appartement, et mes chatounettes. J'ai certes fait appel aux services - payants - d'une dame dont c'est l'activité, mais tout de même, à l'idée de laisser mes chatounettes toutes seules, ça me fendait le coeur. Avoir des animaux, c'est renoncer à une certaine indépendance et liberté d'esprit.

    La clim du tgv ne m'a pas réussi, et je me suis levée lundi matin avec la gorge un peu douloureuse. Le froid parisien, les courants d'air dans le métro, la chambre bien chauffée n'ont rien arrangé, et je termine la semaine avec une trachéite et un gros rhume. Il me tarde ce week-end pour faire des grasses matinées, et, peut-être même la sieste dimanche après-midi.

    L'hôtel était dans le 17ème, rue de Villiers, et ce n'est pas le quartier le plus désagréable de Paris ! De splendides immeubles, de magnifiques façades, de larges trottoirs bien propres.... je n'ai pas vu le moindre Space Invader, le moindre graffiti... Bien que j'aime bien les arrondissements plus populaires, ce coin du 17ème m'a particulièrement charmée, pour le peu que j'en ai vu. J'y retournerai bien volontiers, au soleil d'un mois d'août propice au tourisme.

    J'étais de surcroit à deux stations de RER du boulot, ce qui était bien appréciable. N'empêche, j'ai eu l'impression de passer trois jours dans le noir, je partais tôt le matin, je m'engouffrais dans le RER, je passais la journée dans un bureau dans un immense complexe vitré et (mal) climatisé, et je m'engouffrais de nouveau dans le RER, arrêt juste en face du bureau, et  voilà, encore une fois le noir, les courants d'air, la poussière et l'odeur, lourde et âcre des couloirs souterrains.

    Et le froid. Il y avait longtemps que je n'avais pas eu aussi froid. Lundi en particulier, malgré les collants, le pantalon, et les nombreuses couches de vêtements, j'étais complètement glacée.

    Quand à la formation, comme d'habitude c'était difficile. Difficile de rester concentrée plusieurs heures d'affilée, difficile de comprendre le fonctionnement de logiciels inconnus, difficile de retenir les manipulations immédiatement, difficile de regarder l'écran tout en prenant des notes... Le tout dans un environnement inconnu, avec des gens certes gentils mais que je voyais pour la première fois, retrouver son chemin pour aller aux toilettes, essayer de retenir tous les prénoms et les visages.... et surtout, devoir accepter le fait que le changement, ça y est, c'est maintenant, et réaliser que le boulot que j'ai fait ces dernières années, ben je ne le ferai plus, parce que les procédures changent, les outils aussi mais les périmètres aussi, et que le futur s'annonce bien moins intéressant qu'on ne l'avait imaginé... Désillusion. Mais bon, rester positive : un boulot, ça peut évoluer, rien n'est figé pour l'instant dans la future organisation.    

    Pas le temps de faire du tourisme, frustration immense d'être à Paris s'en rien en voir d'autres que les belles façades dans la nuit, et la tour Montparnasse

    Mais joie d'en profiter pour revoir mes amis - et cela a largement compensé le noir, le froid, la fatigue !

     

    Rentrée tard hier soir, pour la petite histoire j'ai pris le bus en sortant de la gare, puisque le bus passe devant mon appartement, et voià que le chauffeur s'est aperçu qu'un sac avait été oublié dans le bus, et, plan vigipirate oblige, a stoppé le bus, alerté la gendarmerie, et fait descendre tous les voyageurs... retour chez moi à pied, en pleine nuit, heureusement il n'y avait plus que deux arrêts jusqu'à chez moi ! Vive l'inventeur de la valise à roulettes !!!

    Pas le temps de souffler, j'ai repris le boulot ce matin, pour une journée intense, car mon collègue Hubert était en réunion toute la journée (et ma collègue D. ne travaille que le lundi et le mardi). Chloé et moi avons travaillé d'arrache-pied, avec la pression de notre chef qui a débarqué dans l'après-midi en nous demandant un travail urgent... et dans ses cas là elle tient du pittbull, qui ne lâche pas sa proie quand elle est dans sa gueule... Bref, alors que j'avais pensé quitter le boulot vers 17 h, au pire 17 h 30, histoire de rentrer me mettre vite au chaud chez moi, sous un plaid, avec une réserve de mouchoirs et une boîte de doliprane, j'ai du rester jusqu'à 18 h 30 :-(

    Pas question toutefois de faire l'impasse sur le repas du jeudi soir avec mes fils, mais le repas s'est réduit aux pizzas que mon cadet a été chercher. Bien que fatiguée, je tenais à les voir - il y a des choses qui passent avant tout !

     

    Hier soir, en descendant du train, en gare de Bordeaux, une odeur agréable m'est arrivée aux narines. J'ai réalisé qu'après trois jours parisiens, même Bordeaux sentait bon !!! Pauvres parisiens !

     


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  • Bien sûr, les températures baissent sérieusement, et ce matin, les bas-côtés de la voie ferrée à côté de chez moi étaient bien blancs. Et février pourrait bien nous emmener de la neige, après tout, tout est possible.

    Mais quoiqu'il arrive, je m'en fiche un peu car : les jours rallongent !!! Hier soir, comme il faisait enfin beau, j'ai pu constater qu'à 18 h 00, il ne fait plus nuit :-D    Le plus dur est donc passé, d'une certaine façon, et cela me convient tout à fait.

    Ceci dit, c'est certain, pour partir à Paris demain, je vais prendre des vêtements chauds !


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  • Apéritif dînatoire, hier soir chez ma cousine, pour fêter la naissance de sa petite-fille... Difficile de déterminer quel est le rang de celle-ci par rapport à moi, cousine au troisième degré peut-être ? Ma cousine se trouve donc désormais grand'mère, ce qui ne laisse pas de me laisser perplexe, tant j'ai l'impression que nous sommes encore jeunes... Mais le bébé est bien là, petit bout dans un petit babygros, petit nez, petites menottes, petits pieds... Dans vingt ans, elle sera une jeune femme, la vie devant elle quand la mienne sera derrière moi... Ca m'a remué, ce bébé, je me demande comment je vais réagir lorsque ce sera à mon tour de devenir grand'mère...

    J'ai bien sûr pris deux photos de cette petite Victoria - quel prénom superbe ! mais aussi de la belle Satine, persane de grand lignage, qui nous faisait l'honneur de sa présence parmi nous...

    satine3

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La semaine est passée à toute vitesse. Outre le travail, de plus en plus intense, j'ai été fort occupée en cette fin de semaine par la recherche d'une assurance pour mon prêt immobilier. Une assurance, quand on a eu quelques petits soucis de santé, c'est compliqué. L'assurance avec laquelle travaille ma banque se révèle être exorbitante, et même honteuse. Il me faut donc trouver, par moi-même, une autre assurance. C'est gonflant, pas vraiment intéressant, toutefois j'aime bien ça, m'occuper de mes affaires, après tant d'années de mariage  durant lesquelles je ne me suis occupée de rien -  prise en charge comme une petite fille en fait, ce qui était très confortable mais,, au final pas vraiment gratifiant et surtout pas responsable. J'apprécie, même si c'est parfois pénible et fatigant, de gérer seule mes affaires. C'est comme quand je dois faire des arbitrages concernant mes (petites) économies (Picsou, c'est mon super héros à moi), je ne suis pas sûre de prendre les bonnes décisions, mais au moins, ce sont mes décisions à moi.


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  • J'ai bien fait de prendre des congés la semaine dernière. Ce fut une pause apréciée, d'autant que je savais que cette nouvelle année va être intense, au moins sur le plan professionnel.

    De fait, j'étais juste arrivée hier matin que ma chef m'a confirmée que je dois partir en déplacement à Paris en début de semaine prochaine, "en immersion" dans le service informatique de notre actionnaire, afin de prendre en main les outils informatiques qui vont remplacer ceux sur lesquels je bosse actuellement.

    J'y pars en train, ça c'est un des avantages de mon nouvel employeur, j'ai le choix entre le train et l'avion - et je préfère le train. Je peux aussi partir la veille, ce qui est moins fatiguant que de devoir se lever à 4 heures du matin pour prendre l'avion de 6 heures pour être sur place à 9 h 00... difficile d'être vraiment compétitif dans ces conditions là... Je rentrerai tard chez moi mercredi soir, et le lendemain il faudra que je reparte au boulot pour mettre en pratique ce que j'aurais appris durant ces trois jours. Ma chef nous met une grosse pression : non seulement il faut que nous montions rapidement en compétence sur les nouveaux logiciels, mais en plus il faut que nous écrivions les procédures et modes opératoires correspondants... beaucoup, beaucoup de boulot en perspective.... Je l'ai dit, 2016 sera intense - au minimum.

    Je me suis donc occupée de trouver quelqu'un pour venir s'occuper de mes chatounettes, une dame qui a déjà gardé La Chatte lorsque j'étais partie à Paris en mai dernier. Ca s'était bien passé, donc j'ai confiance, c'est important. J'espère tout de même que cela ne va pas stresser mes chatounettes, de se retrouver toutes seules trois jours et demi :-/

    Sinon, ça va, mis à part quelques petites contrariétés de ci de là, rien de grave. Mon poids me fait souci, comme mes finances. Je grossis et mon compte bancaire maigri, et je préfèrerai que ce soit le contraire ;-) Mais je suis encore en train de manger les chocolats de Noël, et les soldes sont passées par là. On verra donc en Fevrier, pour serrer d'un cran la ceinture du jean et celle du porte-monnaie !


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  • L'ancien, fidèle ami de ces six dernières années....

     

    APN_ancien

    Le nouveau, plus gros, plus lourd, plus performant... plus discret ;-)

    APN_nouveau

     


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  • C'est le vent qui m'a réveillé, cette nuit. Les rafales, et le volet roulant de la chambre qui remuait à chaque rafale un peu plus forte que les autres. C'est le problème des volets roulants, ça bouge facilement. Et à chaque fois qu'il y a un peu de vent, j'ai toujours peur que le volet soit arraché par une rafale un peu trop forte. Ca nous était arrivé, dans la maison dans laquelle je vivais avec mon ex-mari, lors de la grande tempête de 99.

    Du reste, depuis la tempête de 99, je ne supporte plus le vent. Je suis restée traumatisée par le bruit du vent, qui fut absolument terrible, durant de très longues heures. Le bruit du vent, les grincements de la charpente malmenée par les rafales, le crissement des tuiles frottant les unes contre les autres... j'espère ne jamais revivre ça.

    Du coup, alors que le coup de vent de cette nuit s'installait, je me suis levée pour relever les volets, celui de la chambre et celui du salon. J'ai fini la nuit à la lumière du lampadaire de l'avenue, une moche lumière orange, et j'ai fini par me rendormir.

    Du coup, je me suis demandée, puisque le volet roulant de ma chambre ne ferme plus très bien, je n'aurais pas intérêt à le laisser levé en permanence, et à installer un rideau (je n'en n'ai pas pour l'instant) assez épais. Ou un store ocultant. Un peu comme les anglo-saxons, qui n'ont pas de volets. Je vais étudier ça sérieusement.

    Autre achat à faire, rapidement, celui d'un rideau isolant phonique pour la porte d'entrée. Le couloir de l'étage fait caisse de résonnance pour tous les bruits, ceux du couloir comme ceux des appartements, et ça me tape sur les nerfs. De plus, j'ai constaté que la porte jointe mal, et que c'est une source de déperdition de chaleur importante. Du reste, cette nuit, le bruit du vent passant sous la porte était également assez impressionnant. Si le froid rentre par l'entrée, la chaleur rentre par les fenêtres, or si la baie vitrée du salon et la fenêtre de la chambre ont des volets, ce n'est pas le cas de la grande fenêtre de la cuisine. Il faut que j'envisage sérieusement l'installation d'un store à cet endroit là également. Bref, encore des projets en perspective, et les projets, j'aime ça.

    Le vent de cette nuit était d'ouest. Il soufflait encore très fort ce matin, mais la pluie s'était calmée, et l'avantage du vent d'ouest, c'est qu'il emmène généralement une certaine douceur. Du coup, j'ai profité de cette douceur pour nettoyer mon balcon, ce matin, puisqu'après plusieurs jours de fortes pluies et de vents violents, il était bien mouillé, et plein de feuilles. J'en ai profité pour tailler mes deux rosiers. Je ne suis pas une experte en taille, mais je sais qu'il est important de tailler les rosiers, pour les renforcer. J'espère n'avoir pas fait trop de dégâts : on verra ça au printemps prochain !


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  • B - Banque. Aujourd'hui, j'ai 88 653 euros sur mon compte bancaire. Youhou ! "Je retire tout et je file dans un pays qui ne pratique pas l'extradition" ais-je déclaré à mon banquier, qui a moyennement apprécié la plaisanterie. En fait, c'est juste le déblocage du prêt de rachat de mon crédit immobilier. Ca repart dès demain, vers les organismes dont je suis actuellement débitrice. Mais bon, tant que je peux, je vais encore me faire ce petit plaisir et le répéter  : aujourd'hui, j'ai 88 653 euros sur mon compte bancaire...

    C - Chattes. Ca va de mieux en mieux. La Chatte a recommencé à ronronner, et elle a réinvesti mon lit pour y dormir. Comme Loukoum avait pris possession de l'endroit, et n'entend pas laisser sa place, je dois désormais me contorsionner pour me coucher entre les deux, et dormir. Les pousser ? euh, non. De toute façon, un chat qui dort et ne veut pas bouger, ça pèse son poids. Et puis je suis trop contente d'avoir mes deux chatounettes avec moi !

    D - Début d'année. Je commence l'année par une semaine de congés. Et ça me fait du bien. C'est en fait une très bonne façon de commencer l'année, cette pause après l'agitation des fêtes. J'avais fait la même chose l'an dernier, mais l'attentat contre Charlie Hebdo m'avait sérieusement miné le moral.

    E - Economies. La douceur de ces derniers mois, ainsi que l'ensoleillement important, m'ont permis de ne chauffer l'appartement que rarement jusqu'à présent. J'espère que ma facture d'électricité s'en ressentira !

    M - Mouettes. Le plan d'eau du parc voisin a attiré toute une colonie de mouettes. De temps en temps, elles s'envolent toutes en même temps et survolent les environs. Il m'arrive donc de les voir voltiger au dessus de mon appartement. C'est très beau un vol de mouettes. Elles planent, légères, et, blanches sur le ciel gris, sont comme des ballerines qui voleraient... Et puis c'est tellement surprenant, ces mouettes en pleine ville ! J'aime bien ça, ne serait-ce le bruit de l'avenue, je pourrais presque m'imaginer au bord de la mer...

    N - Nature. Parce que oui, la nature est là. Le petit écureil continue son va-et-vient entre le parc et les arbres en face de chez moi (je me demande bien ce qu'il peut venir y chercher). Ce matin, il a effarouché... un rat qui était sur la voie ferrée. Les rats ont mauvaise réputation, mais personnellement je ne suis pas effrayée - tant qu'ils restent un peu loin.

    S - Soldes. Je suis allée m'acheter une paire de chaussures cet après-midi, mais je ne devrais pas aller gonfler la foule des acheteurs. J'ai besoin d'un pull, et c'est tout. Le superflu, ce ne sera pas pour moi, le mois de janvier est trop tendu... même si j'ai 88 653 euros sur mon compte ;-)

    T - Temps. Pluvieux, hein ! il y avait longtemps que je n'avais pas vu tomber autant de pluie ! Si c'était de la neige, ce serait du jamais vu ! En attendant le froid, c'est de la pluie, les caniveaux sont bien remplis, le parc d'à côté, bien boueux, ce qui rend la promenade moins plaisante.

    Y - Yoga. Je profite de ma semaine de congés pour y aller deux fois. Ca me fait du bien. C'est très rigolo le yoga : quand on regarde, ça a l'air facile. Quand on le fait, on s'aperçoit qu'en fait,, ce n'est pas facile du tout !


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