Putain de saloperie de famille de merde.

Oui, bien sur, j'irais, à ce mariage. Et avec une poche de confetti.

Hier au courrier, j'ai reçu un faire-part.

Mon frère se remarie.

Je suis invitée. A la cérémonie et l'apéritif qui suit.

Un faire- part.

Voyons le bon côté des choses : j'aurais pu ne rien recevoir du tout.

J'ai profité de cette heure de plus pour me remettre au lit, pendant que le gâteau pour ce soir cuisait et que la machine à laver tournait, et Loukoumette est venu me retrouver. J'avais ouvert le volet roulant, mais le temps était gris, ce matin, et c'était agréable de me remettre dans mon lit, parmi mes oreillers, avec la couette d'hiver confortablement gonflée,sur moi. J'ai fermé les yeux, ai somnolé un peu, ai laissé vagabonder mes pensées. Peu à peu mes vacances de l'an prochain se sont dessinées : prendre quinze jours en mars ou avril, pour monter voir mes amis bretons, et, l'été prochain, pourquoi ne pas aller voir ma famille dans les Alpes ? Et, bien avant ça, si je profitais du pont du 11 novembre pour faire un aller-retour sur Poitiers, voir mon frère ?

Un peu plus tard, alors que j'arrosais mes orchidées, j'ai découvert que l'une d'entre elles remettait déjà une nouvelle hampe florale, ce qui m'a fait bien plaisir. J'ai également arrosé les plantes sur le balcon, dans la douceur du milieu de journée. Les jardinières ne sont pas très jolies, il faut le dire, à moitié vides maintenant, mais je n'ai pas les moyens de les refleurir pour l'hiver, cela attendra le printemps prochain. Le bambou, les rosiers, le nandina, ainsi qu'un pétunia particulièrement résistant apportent tout de même quelques touches de verdure.

J'ai profité du soleil revenu pour aller faire un tour de vélo, il faisait particullièrement doux et beau cet après-midi. J'ai pourtant rallumé le chauffage, ce soir, pour la première fois depuis l'hiver dernier. J'avais testé la recette d'un "gâteau invisible" pour le dîner, et c'était assez réussi, une bonne alternative au gâteau aux pommes que je fais traditionnellement. Mon cake aux courgettes était particulièrement réussi également, mon fils et un de ses amis n'en n'ont pas laissé une miette (mais je ne leur ai pas laissé ma part !). Je suis très contente de cette recette de cake à la courgette, adaptation personnelle d'un recette trouvée sur le net.

L'automne, c'est le retour des couleurs chaudes, et des bougies allumées dans la maison. En face de l'appartement, de l'autre coté de l'avenue, les arbres jaunissent tranquillement, et leurs feuilles tombent doucement. Les petits écureuils du parc voisin font des va-et-vient entre le parc et les arbres en face de chez moi, je les vois traverser la voie ferrée en quelques bonds agiles, petits éclairs bruns, puis ils disparaissent dans les arbres, faisant certainement provision de fruits (mais j'ignore de quels fruits il peut bien s'agir, ignorante que je suis des différentes espèces d'arbres - une lacune qu'il faudrait que je comble).

J'ai donc rallumé quelques bougies, ce soir, et voilà qu'il est déjà temps de me remettre au lit - je baille depuis un bon moment déjà. Vivement le prochain week-end !

Concert hier soir, Francis Cabrel.

Je ne suis pas groopie hystérique, j'aime Cabrel, j'ai tous ses albums, et ses concerts sont assez rares, ce serait dommage de louper ça, les jeux de lumière, les musiciens et les choristes sur scène, l'artiste "en vrai" bien qu'un peu loin - et un peu lointain...

J'ai passé un bon moment, un peu gâché par le va-et-vient des ouvreuses chargées de faire la chasse aux photos volées - l'Artiste ne souhaitant en effet pas être photographié :-/  J'ai réussi à prendre deux-trois photos à la sauvette, ratées bien sûr.

Des chansons de son dernier album, évidemment, et des chansons plus ou moins anciennes, qui ne sont pas celles que je préfère, mais qui sont celles que les fans aiment. La Dame de Haute-Savoie, Sarbacane, ok, mais de là à devenir hystérique... je ne comprends pas. Pas de concert non plus sans le sempiternel Petite Marie, qui m'énervait déjà il y a trente ans. Il faut dire ce qui est, Cabrel s'est bien amélioré avec les ans - même s'il n'est pas le Bob Dylan français qu'il aurait aimé être (suposition de ma part).

Mais bon, il y a toujours de la magie dans les lumières d'un concert, dans la voix du chanteur qui n'est pas celle figée dans le vinyle du cd, et je n'ai pas regretté ma soirée.

J'ai envoyé le chèque pour régler la taxe foncière de mon appartement lundi dernier, et vendredi, le chèque était débité. Et vendredi soir, dans ma boîte à lettres, il y avait l'avis de taxe d'habitation... pfff

Je n'ai rien à cacher. Je gagne 28 000 euros par an, je paie 2500 euros d'impôt sur le revenu, 1000 euros de taxe foncière, 1000 euros de taxe d'habitation.

Divorcée, sans enfant à charge, sans rien à déduire, je paie plein tarif partout, et je trouve la pression fiscale un peu difficile, étant seule justement.

Autour de moi... Ma copine Chloé est divorcée (en concubinage non déclaré avec un cadre travaillant dans le service d'à côté), avec des enfants à charge : pas d'impôts sur le revenu. Elle est locataire dans le parc social, petite taxe d'habitation. Ma collègue D. est en invalidité partielle, elle a des enfants : pas d'impôts sur le revenu. Taxe foncière, taxe d'habitation, elle partage avec son concubin. Mon collègue Hubert fait la moue : il n'a plus d'enfants à charge, et il fait une déclaration séparée d'avec sa concubine, il paie donc autant qu'un célibataire. Du moins... sur ce qu'il déclare. Il fait en effet "du black" dans un club sportif, non déclaré. Il est locataire, dans le parc social, d'un appartement de 90 m², petit loyer, petite taxe d'habitation. Il n'a aucun problème pour changer de voiture, ni pour avoir, systématiquement, le dernier Iphone.

Je ne les envie pas pour autant. Je suis contente d'être en accession à la propriété de mon appartement, je suis même fière d'avoir pu faire cet achat, toute seule comme une grande, à un âge où ce n'est pas facile, achat qui me permettra d'être indépendante financièrement quand j'aurais fini de payer mon crédit, et de laisser un avoir à mes fils en héritage. Mais je trouve que l'impôt est particulièrement inégalitaire. Nous percevons tous les quatre le même salaire, mais j'ai la plus forte pression fiscale, alors même que je suis seule. Je trouve cela injuste, d'autant qu'avec mes impôts, je finance la solidarité dont profitent les trois autres : prestations sociales, logements sociaux...

Ce système va-t-il pouvoir perdurer, si trop peu de gens paient tant pour tant d'autres ?

L'hébergeur de la plateforme sur laquelle est mon blog a annoncé il y a quelques mois qu'un changement de plateforme va intervenir, et que l'ensemble des blogs et de leurs contenus vont être migrés sur la nouvelle plateforme. Cela devrait intervenir d'ici la fin de l'année.

Je croise les doigts pour ne rien perdre, de ces années d'articles, de photos, et de commentaires aussi.

La rando du week-end, c'était la Rando des Villages, sur la presqu'île du Cap-Ferret.

Quand j'avais vu le parcours, j'avais bien noté le passage sur la plage, et j'avais dit à ma copine MH : "on va en baver". De fait, on en a bavé, surtout moi, MH c'est une randonneuse plus aguerrie que moi. J'ai toujours beaucoup de mal à marcher dans le sable. Mais la rando fut belle, et on l'a apprécié. 12 kms simplement, mais 12 kms intenses en raison de ce long passage sur la plage, la remontée sur la dune a été plus que difficile.

Oui mais : les arbousiers en fruits, le bruit de l'océan, la douceur de l'eau sur mes pieds nus, les coquillages brillants au soleil, l'odeur du varech le long du bassin, la vue sur la dune du Pyla au loin, les cabanes des pêcheurs...

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Comme nous retournions à la voiture, MH a sorti deux coquillages de sa poche. "Tiens, je les ai ramassé sur la plage, pour toi". Deux simples coquillages. Le geste m'a émue. Parfois les cadeaux les plus simples sont les plus beaux.

Faire son lit, quand on a un chat, c'est faire son lit AVEC son chat. Sport !

Tout va bien, et tu te dis que oui, vraiment, tu vas plutôt bien, comme un canot qui filerait tranquillement sur une eau bien plate, portée par un léger courant uniforme.

Et puis comme la chanson à la mode se termine, là, dans l'autoradio, quelques notes arrivent, quelques notes il ne t'en faut pas plus pour reconnaitre une intro que tu reconnaitrais entre mille. La chanson est parfaite, parfaite, de la première note à la dernière, tout est parfait, la musique, les paroles, les arrangements, la voix de Cantat. C'est une des plus belles chansons que tu connaisses, et tu ne t'en lasses pas.

C'est aussi une des chansons les plus tristes aussi, c'est pour ça que tu ne l'écoutes jamais volontairement. Elle te tord les tripes à chaque fois, une grande lame de fond qui remonte, un raz de marée émotionnel.

Le vent m'emportera, la chanson de Noir Désir, qui te renvoit à ce film de Kiarostami, Le Vent nous emportera, et ce film tu ne l'avais pas vue seule, et voilà. Le temps d'un été, la salle du cinéma Jean-Vigo, son balcon ses tentures rouges, cet été où il a fait si beau, si chaud, un été d'échanges et de découvertes t'avait-il écrit.

Tu pourrais changer de station, ou éteindre ton autoradio. Non, tu l'écoutes jusqu'au bout, jusquà la dernière note, parce que décidemment cette chanson est belle et parfaite, et tant pis si elle est triste, avec ses accords mineurs, et ce souvenir qui te lamine.

Trois minutes et quelques, trois minutes que tu vis intensément, tout à la fois à l'écoute de la musique et de tes souvenirs, coup de chance la radio la diffuse jusqu'à la fin, et puis une nouvelle chanson arrive, que tu entends à peine. Les vagues sont toujours là, mais voilà que l'océan se calme peu à peu.

Tu rentres chez toi, tu dis bonjour aux chats, tu te prépares une tisane, ton quotidien est là, et peu à peu, tu passes à autre chose, tu allumes ton pc et tu consultes le fil d'actualité de ton facebook.

Finalement, ce n'était qu'une petite ride sur une eau bien plate.

L'infinité des destins

On en pose un

Et qu'est-ce qu'on en retient ?

Le vent nous portera...

Au détour d'une petite rue, à l'écart du (tout petit) centre-ville de Rions, j'ai découvert cette belle pompe à eau. Elle ne fonctionne plus, hélas, mais ravit  certainement tous ceux qui la découvrent !

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C'était du côté de Rions, petit village médiéval de l'Entre-Deux-Mers.

Des vignes, des bois, et une belle source, alimentant un lavoir, au beau milieu des bois. Pierres anciennes, odeur des herbes fraîches, orties et menthe, chants d'oiseaux, chant du filet d'eau...

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A - Araignées. Avec l'automne, c'est le retour de ces saloperies de bestioles. J'en ai tué une dans le couloir de la résidence cet après-midi, et juste après, quand j'ai pris ma voiture, j'ai cru en voir une dégringoler le long du pare-brise. Je ne sais pas si c'était une araignée ou une petite branche du cyprès à côté de la voiture. Peut-être me suis-je imaginée que c'était une araignée, à cause de celle que je venais de tuer, en tout cas, j'ai eu du mal à me concentrer sur la conduite :-/ Cela va tout de même mieux, j'ai réussi à tuer celle de cet après-midi sans avoir de nausées, je trouve que j'ai fait de nets progrès.

B - Boulot. Avec la fusion, tous les postes du service informatique changent. Résultat, ils sont tous ouverts au recrutement. Je dois donc postuler pour mon propre poste, si je veux y rester. En fait, ce n'est plus tout à fait le même poste, car avec la fusion, le boulot va changer. Ca veut dire aussi que je peux ne pas me repositionner sur mon poste, et postuler sur un autre. Tous les postes étant ouverts, il va en effet y avoir des changements, un genre de jeu des chaises musicales. Ceci dit, je n'ai toujours pas le niveau d'un ingénieur en systèmes Unix ;-) dont les possibilités pour moi sont tout de même très limitées... Je trouve ça quand même rigolo de me dire qu'il faut que je repostule à mon propre poste, ça fait un peu bureaucratie soviétique. Ce pourrait être aussi l'occasion d'aller voir ailleurs, je veux dire, dans un autre service. C'est vrai que j'aurais aimé prendre des responsabilités, encadrer une équipe, et aussi... gagner plus. Mais je doute encore trop de moi-même et de mes capacités pour oser postuler sur un poste de manager d'équipe. Du reste, je voudrais gagner plus... mais pas travailler plus...

C - Chattes. J'ai fait stériliser Loukoum hier, et j'ai passé une très mauvaise nuit. Encore groggy, elle est venue se blottir contre moi quand je me suis couchée, total, je n'osais pas bouger, en plus j'avais parfois l'impression qu'elle ne respirait plus... Je m'inquiète autant pour Loukoumette que pour mes fils quand ils étaient bébés (quoiqu'en fait, je m'inquiète toujours pour eux).  La Chatte, quand à elle, est toujours mal dans sa peau, sur la défensive, crachant dès qu'elle voit Loukoum. J'ai profité de l'absence de Loukoum pour lui faire plein de calins, hier, seule elle était plus détendue. J'ai acheté un diffuseur de phéromones, on va bien voir si cela améliore les relations entre les deux bestioles.

C - Cité administrative. J'y suis allée, hier, pour demander un relevé hypothécaire. La cité administrative, ce sont deux grandes tours d'une vingtaine d'étages, glorieux héritage des années 70. Acier, verre, béton et marbre. Les bureaux, totalement vitrés, offrent un panorama unique sur la région. Je suis allée au 8ème étage (service de la publicité foncière) puis au 14ème (au cadastre). J'ai dû emprunter la passerelle toute vitrée qui relie les deux tours... et j'ai cru que j'allais me sentir mal, tellement le vertige était fort. En pleine possession de mes moyens, je serais montée au 23ème étage, et j'aurais pris un maximum de photos ! Mais là, je n'avais qu'une envie, redescendre au plus vite, et sortir de ce qui s'est révélé une veritable maison de torture pour moi... mais je parle du vertige, hein, pas du contact avec les différents fonctionnaires, tous aimables et efficaces, comme d'habitude.

I - Ikéa. Petit tour chez Ikéa hier après-midi avec mon fils cadet. J'aime bien y aller de temps en temps, et en plus j'avais deux-trois bricoles à y acheter. On y va pour deux-trois bricoles, et on en ressort les bras pleins. Mon fantasme : gagner au loto, et aller chez Ikéa et acheter tout ce dont j'ai envie, sans me préoccuper, pour une fois, du montant final de mes achats !!!

O - Octobre. Octobre, ses petits matins où le frais vire au froid, et les soirées qui raccourcissent et rafraîchissent. Cette semaine, au moment de me glisser dans mon lit, j'ai bien senti que la couette d'été ne suffisait plus. Demain, je range la couette d'été, je ressors la couette d'hiver !

O - Octobre. Octobre, c'est aussi une chanson de Cabrel, que je vais voir en concert dans un peu plus d'une semaine :-D

R - Rachat. Je fais racheter mon prêt immobilier par ma banque. Cela devrait me faire gagner trois ans de crédit. Ce qui illustre parfaitement l'adage : le temps, c'est de l'argent. Et vice versa ;-)

S - Sommeil. Dormir, dormir... les nuits sont courtes, Loukoum me réveille tôt, avant même que le réveil sonne, tous les matins. Ah, faire une grosse sieste, au soleil... et sans chat pour me déranger... !.

et ce soir, c'était yoga... AÏE !

Le yoga, ça a l'air zen, en fait c'est difficile, c'est une gymnastique lente mais intense, c'est très, très physique. Ce soir, j'ai eu beaucoup de mal à faire certaines positions, je doute même d'y arriver un jour, ça nécessite une souplesse et surtout une musculature que je n'ai pas. Du coup, certains exercices sont plus désagréables qu'agréables ! N'empêche, j'aime bien ce moment, où j'arrive - c'est assez rare chez moi - à me concentrer sur le moment présent, sur ce que je fais, sans que les pensées parasitent mon esprit.

Ce soir, du reste, j'en avais bien besoin. J'ai terminé la journée à cran, sans que je comprenne trop pourquoi. Un ensemble de choses, je pense. La visite de notre future nouvelle chef, avec qui nous avons déjeuné ce midi, ce qui nous a permis de passer avec elle un moment agréable, puisque nous avons pu la connaître hors du seul contexte du travail. Néanmoins, sa visite, le fait de parler des nouveaux outils informatiques sur lesquels il va falloir que je me forme, m'ont un peu stressé. Comme je l'ai dit, j'aime les changements autant que je les redoute. Et puis le bureau est bruyant, nous partageons notre bureau avec une autre équipe, qui répond au téléphone toute la journée (une ligne chaude), c'est pénible, et comme si ça ne suffisait pas, ma collègue/copine Chloé passe de longues heures au téléphone avec ses fils, ce qui finit par m'agacer. Il est vrai que je suis peu tolérante et voilà, moi, l'intrusion du personnel au boulot, ça m'agace. Bref, j'étais à cran en débauchant - du reste je suis également un peu stressée car j'emmène vendredi Loukoum chez le vétérinaire pour la faire stériliser.

Du coup, le yoga, aïe aïe aïe, certes, mais le yoga  aahhh aussi !

Ou presque. La fusion achevée (rappel des épisodes précédents : l'entreprise qui m'emploie a été rachetée par une entreprise beaucoup, beaucoup plus grosse qu'elle.) il faut maintenant se pencher sur les réorganisations à venir. Les chefs bossent sur le sujet depuis plusieurs mois, on a déjà eu plusieurs réunions, mais c'était très flou. Voilà que ça se précise, et sérieusement, puisque aujourd'hui nous avons eu plusieurs réunions présentant l'organisation-cible, et que nous avons fait la connaissance d'une partie de notre nouvelle hiérarchie. En autre, en ce qui me concerne, ma future chef. Encore une femme, tiens. Dans l'informatique, il y a plus de femmes qu'on ne le pense de prime abord. Elle a l'air sympa. Ceci dit, il s'en faudra encore de longtemps avant que l'organisation soit mise en place, plus ou moins vite selon les services, entre quelques mois et deux ans.  J'aime bien les réorganisations, les changements. C'est l'occasion de changer, un peu, ou beaucoup. Pour le coup, j'aimerai bien changer de collègues, ça me ferait du bien, je ne supporte plus ma collègue D., je l'ai déjà dit quelque part par ici. Mon boulot va changer, aussi, ça pourrait être intéressant. Ce sera fatiguant, aussi, de devoir me former une énième fois à de nouveaux outils, de nouvelles procédures, n'empêche, le changement, ça me met toujours de bonne humeur. D'autant plus que ma future nouvelle chef à l'air sympa, ouf.