• Quelle gourde ! mais quelle gourde !!! Ce type, il ne voulait qu'une seule chose.

    Et quelle gourde je fais de ne pas m'en être aperçue ! je me suis faite avoir comme une gamine. La naïveté n'a pas d'âge.

    Bon, bref, quelle gourde.

    Pas très grave, de toute façon j'étais en train de me demander s'il avait vaiment un caractère affirmé ou s'il était juste vraiment très con.

    Pour le coup, mon amour propre en prend un coup, j'ai reçu son sms de rupture juste avant d'avoir eu le temps d'écrire le mien.

    La règle - apprise, à mes dépends, de mon tout premier petit ami - c'est : quand tu sens le vent tourner, largue avant d'être larguée, c'est meilleur pour ton ego.

    Pour le reste... quelle gourde, non mais vraiment quelle gourde !!!

     

     

     

    Elle rêve d'un fragile, d'un fou
    Qui l'embrasse au quinzième rendez-vous
    Qui tremble en lui prenant la main
    Et surtout qui ne dise rien

     


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  • "Le manque, la jalousie, plus jamais ça !" crie Nathalie Baye à Samuel Le Bihan, dans le film Vénus Beauté Institut, revu cette semaine.

    Mais voilà, finalement....

     

    Il a fait le premier pas.

    J'ai dit non.

    J'ai réfléchi.

    J'ai fait le second.


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  • Quelqu'un m'a demandé juste hier après-midi
    Si je me souvenais de toi
    Il m'a montré toutes ses photos d'amis
    Et j'en ai vu trop de toi

    Les clichés d'un week-end en Angleterre
    Quelques diapos d'un de nos anniversaires
    Enfin juste de quoi tout remuer
    Avec une envie folle
    De te retrouver
    Et de te chercher partout
    De te retrouver

    Et puis j'ai repris ce matin mon job à huit heures pile
    Et là j'ai tout oublié
    C'est drôle de voir comme les heures qui défilent
    Peuvent à ce point tout changer

    Après tout je me fous de l'Angleterre
    Et j'aurai bien d'autres anniversaires
    Je vis la vie que je voulais mener

    A quoi bon tout changer pour te retrouver

     

    Juillet 2005

    Juillet 2015

    Il n'existe aucune photo de cet été là.


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  • Je connais bien ce chemin. Je l'emprunte, en vélo, depuis des années. Moins régulièrement qu'autrefois, quand je vivais à côté, mais je retourne tout de même dans ce bois de temps à autre. J'ai pour ce chemin une tendresse particulière. Je me demande depuis combien de temps il est là, tracé par des pas anciens, d'où venait-il, où allait-il "avant", avant l'urbanisation de ce bois que j'ai connu sauvage, avant les lotissements, les allées blanches et bien tracées, la rocade.... ?

    C'est étrange, il trace une limite entre deux parties du bois. D'un côté, une partie avec de grands chênes, une terre sombre, élastique, nourrie de l'humus des feuilles de chaque automne, plus humide, et de l'autre, une terre plus blanche, des arbres différents, des maronniers, des bouleaux, mais de chaque côté, des fougères, crosses vert tendre au printemps, rousseurs sèches en automne...

    Et puis ce chemin, différent à chaque fois que je l'emprunte, et pourtant toujours le même, comme une invitation...

     


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  • Ah ben me voilà en train d'éconduire un second soupirant. Diantre fichtre. Je n'en reviens pas d'avoir du succès, à mon âge, alors qu'à 20 ans, ma vie sentimentale était un vrai désert. Si la courbe continue en ce sens, à 100 ans je ferai un malheur quand je serai en maison de retraite !

    Plus sérieusement, c'est compliqué cette histoire. Je veux des amis, pas des amoureux. Bleck va encore me dire que c'est ambigu ;-) mais non, je suis pourtant claire, en clamant haut et fort que je suis bien toute seule.

    Mais si, bien sûr, je voudrais bien un amoureux. Mais voilà, je ne veux plus m'attacher, je ne veux plus souffrir, je ne veux plus soupirer en regardant par la fenêtre, je ne veux plus me ronger les sangs en attendant un sms ou un coup de fil, je ne veux plus avoir de crises d'angoisse à chaque départ de l'amoureux. Le sentiment, moi, je ne sais pas faire normalement. Il y a un truc qui cloche, un truc qui s'est pas construit correctement chez moi, une incapacité, un handicap. Je suis arrivée, avec difficultés, et la béquille précieuse d'un médicament, à un équilibre, je n'ai pas envie de tout ficher en l'air pour un mec. Je deviens prudente, timorée, raisonnable - moi qui aimais si peu ce mot là autrefois.

    J'ai eu une vie de couple, j'ai eu des aventures, j'ai connu la passion, j'ai connu des chagrins d'amour - et je trouve que finalement, c'est une belle souffrance que celle-là, souffrir d'avoir aimé quand il y a des gens qui n'aiment jamais - j'ai aujourd'hui deux beaux enfants issus de mon mariage, c'est une chose magnifique. Aujourd'hui une autre vie s'offre à moi, une vie différente, solitaire certes mais, comme m'a dit un ancien amoureux un jour, il y a des solitudes assumées, pas tristes, et je me dis que j'ai de la chance de vivre une seconde vie après une première, quand tant de gens n'en vivent qu'une. Et puis il y a des hommes dans ma vie, mes fils, mes collègues, un ancien amoureux devenu ami facebook,  il y a de la testostérone autour de moi ;-)


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  • Bien que je sois très fatiguée, je ne me laisse pas aller. Après la piscine dimanche matin, j'ai fait deux heures de vélo ce soir, dans une fraîcheur toute relative. En fait, il fait encore très chaud ce soir sur Bordeaux. C'est une micro-sieste, en tout début d'après-midi, qui m'a permis de récupérer assez d'énergie pour prendre mon vélo ce soir afin de profiter d'une longue soirée d'été.

    Balade sur les quais de Bordeaux, et, soudain, mon oeil a été attiré par un pannonceau bien fixé sur le portillon d'un petit parc pour enfants, pannonceau à l'air tout à fait officiel.

    amo_kids1
     
    Mais de plus près...
     
    amo_kids2
     
    Mais oui, voilà une nouvelle oeuvre du mystérieux AMO dont jusque là je n'avais trouvé de traces que dans l'hyper centre de Bordeaux. J'ai vu le même pannonceau sur les grilles d'un petit parc quelques mètres plus loin. Mais rien d'autre - pour l'instant.

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  • C - Chaleur. Je ne me plains pas, on a, pour l'instant, un été superbement beau et chaud, pas de doute, cette année l'été est au rendez-vous. Ceci dit, je l'avoue, j'aimerai bien un petit orage, qui viendrait embaumer l'air et, surtout, refroidirait un peu l'air surchauffé. Il est 21 h 30, il fait 26° sur le balcon, et certainement plus chaud dans l'appartement. Le ventilateur marche quasiment en permanence, pour le plus grand plaisir de la Chatte

    C - Chattes. Il y a du mieux, c'est certain ! Par moments, c'est Tom & Jerry à travers l'appartement, mais c'est devenu globalement plus calme, La Chatte supporte mieux la Bestiole. Cette dernière s'entête à vouloir jouer avec cette grosse mémère qui gronde encore, et donne même quelques coups de pattes, mais Loukoum n'est point effrayée, et prend ça comme un jeu. Loukoum qui me fait des calins, ça, pour moi, c'est une nouveauté. Un soulagement : quand je dors, les chattes dorment aussi, et ça, compte-tenu de ma fatigue, c'est appréciable.

    E - Eté. J'aime marcher pieds nus, j'aime avoir trop chaud après avoir eu trop froid l'hiver, j'aime me promener presque nue dans mon appartement, j'aime prendre des douches autant de fois que j'ai envie, j'aime l'odeur de l'huile au monoï, j'aime dormir dans un lit aux draps tout blancs et accueillants, j'aime mes jardinières en fleurs, j'aime sentir l'air sur mes jambes nues, j'aime les soirées qui se prolongent, j'aime le moment où l'air bascule de la chaleur à la fraîcheur, j'aime voir les hirondelles fendre le ciel de leurs cris stridents.

    F - Fatigue. Je finis par accepter le fait que je sois tout le temps fatiguée, effet secondaire du neuroleptique que je prends depuis deux ans. Parfois je suis très fatiguée, parfois je suis juste fatiguée. C'est comme ça, et en ce moment, ça ne m'empêche pas de sortir, de bouger, alors ça va, j'en prends mon parti.

    N - Non. Non, je n'ai pas envie de sortir avec un homme, et non, quand je dis non, c'est non. Hier soir, lors d'une soirée, j'ai plu à un homme. Gentil garçon, intéressant et je me suis laissée embrasser. Oui mais voilà, j'ai mal vécu son insistance par la suite (on va au lit ? non. oh, allez, on y va ? non. Et pourquoi non ?) Zut et re-zut : quand une femme dit non, c'est non, point barre et pourquoi en plus faudrait-il nous justifier ?. Bref, ça, ça m'a refroidit, et puis voilà, je suis bien toute seule, je sors de dix années compliquées, entre échecs sentimentaux et apprentissage du célibat, et maintenant que je suis bien, seule, je n'ai pas envie de compromettre ce "bien". Donc, non.

    P - Piscine. Ce matin, je me suis levée tôt, assez tôt pour faire l'aller-retour sur Andernos pour profiter de la piscine. Pourquoi faire 80 kms (aller/retour) pour aller à la piscine ? Parce que la piscine d'Andernos est à l'eau de mer, et que c'est très agréable. Ce matin, de surcroit, il n'y avait pas foule, et j'ai pu en profiter un bon moment, dans une atmosphère très calme.

    R - Réveil. Matinal. Depuis un mois environ, je teste le réveil matinal. C'est à dire que je me réveille plus tôt - 6 heures contre 6 h 30 voire 7 h  habituellement. Cela me permet de profiter de la fraîcheur du petit matin, des jolies couleurs du lever de soleil, et comme il y a encore peu de circulation sur l'avenue, je peux prendre le petit déjeuner sur mon balcon. J'ai découvert qu'à 6 heures du matin, les hirondelles virevoltent déjà dans le ciel, pour mon plus grand plaisir. J'applique le réveil matinal même le week-end, avec une variante : je me lève, je déjeune, je prends l'air sur le balcon, j'arrose les plantes, et je repars au lit. Je me rendors environ deux heures, et je me réveille en bien meilleure forme que si j'avais fait une grasse matinée habituelle. Je trouve ça bien. Les jours étant plus longs, je me couche plus tard, ce qui entraîne un déficit de sommeil et une fatigue accrue Je compense en faisant la sieste le week-end. Je trouve ce système tout à fait satisfaisant. Ce matin, je ne me suis pas recouchée car j'étais en pleine forme. J'en ai profité pour aller à la piscine d'Andernos, j'ai donc eu le plaisir d'être sur le Bassin alors qu'il y faisait encore frais, l'air sentait bon l'iode et c'était agréable, et, donc, j'ai bien profité de la piscine.


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  • Difficile de prendre une photo tant la Bestiole est vive, et c'est bien dommage : j'aurais pu vous présenter une photo des deux chattes, se contemplant presque tranquillement, nez à nez. Cela va donc mieux, doucement, et heureusement. La Chatte, que j'ai mise sous destressant, tolère de mieux en mieux Loukoum, en dépit du fait que celle-ci, ne doutant de rien, considère son aînée comme un jeu à part entière et n'hésite pas à lui courir après.

    A cette heure-ci, les chattes, que j'ai mises à la diète en raison de diarhée, dorment chacune sur un bout du canapé. La nuit, c'est un peu plus compliqué, La Chatte voudrait bien reprendre sa place à côté de moi, sur le lit, mais la Bestiole occupe le terrain. Petite, mais bien présente ! Ceci dit, je ne doute pas que d'ici quelques semaines, elles seront toutes les deux plus tranquilles.


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  • Je l'avoue, hier soir, j'ai craqué et versé des larmes amères. La Chatte était complètement stressée par la Bestiole qui, totalement décomplexée, avait investi l'appartement. La Chatte ne mangeait plus, à la fois par stress et parce que, où qu'elle aille, la Bestiole était sur son chemin. Idem pour la litière, pour le canapé, pour le fauteuil, pour mon lit...La Bestiole était partout, et les feulements de La Chatte ne l'impressionnaient pas plus que ça. La Chatte, elle, souffrait, et quand elle ne feulait pas elle miaulait de plainte ou peut-être même de douleur. Elle s'est même attaquée à moi à deux reprises, et je voyais, désespérée, s'effrondrer en deux jours les efforts patients de presque trois ans d'apprivoisement.

    Et puis finalement, ce matin, après trois jours de crise, un mieux. La Chatte avait enfin les pupilles redevenues normales (elles étaient dilattées quasiment en permanence depuis trois jours), elle a mangé, pu aller dans sa litière, et a commencé à sortir du coin du salon dans lequel elle s'était réfugiée, bien qu'elle continue à feuler dès qu'elle voit l'intruse dans son champ de vision.

    Loukoum, quand à elle, gagne encore en assurance. Pour elle tout est jeu. Une boule de papier est un jeu, les boutons de nacre de ma chemise de nuit sont un jeu, mes pinceaux de maquillage aussi, de même que... la queue de La Chatte, qu'elle se contente pour l'instant de regarder avec envie - elle se méfie tout de même un peu des griffes blanches et acérées (et je peux témoigner qu'elle a bien raison).85k98;55oi - et voilà elle vient de passer en trombe sur le clavier de l'ordinateur. La Chatte a-t-elle été, il y a longtemps, un petit chaton aussi joueur ? j'ai des doutes, ou alors, que s'est-il passé pour qu'elle devienne cette vieille dame calme et distante ? N'empêche, c'est comme ça que j'aime La Chatte, et j'espère que la cohabitation va évoluer vers plus de calme et de sérenité.


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  • Je trouvais que La Chatte s'ennuyait, et je me suis dit qu'un autre chat, ce serait une bonne idée. En fait, maintenant, je n'en suis plus si sûre. Mais bon, la Bestiole est là...

    Voici Loukoum...

     

    Loukoum

     

    Loukoum2

     

    Loukoum a trois mois, a été abandonnée avec sa soeur alors qu'elles avaient à peine un mois. Loukoum est gentille, propre, vive et joueuse comme le sont tous les petits chats. Elle se passionne pour tout ce qui est à portée de ses pattes, boule de papier ou prise électrique :-/  Elle mange ses croquettes, mange celles de La Chatte aussi, aime la glace au yaourt, le velouté de concombre/courgettes, et aimerait probablement tout ce que je pourrais lui proposer, goulue comme le sont les jeunes chats en pleine croissance. Elle est caline, et ça, ça me change. Elle est collante, auss... Comme un loukoum ! Et, comme tous les petits chats, s'endort aussi vite qu'elle se réveille. Sans oublier les ronrons - elle ronronne durant des heures.

     

    Et puis il y a La Chatte... qui se tranforme en Démon dès qu'elle voir la Bestiole...

    Monstre

     

     

    Je suis malheureuse pour La Chatte, qui vit mal cette intrusion d'un de ses semblables qu'elle connait si peu, elle qui a presque toujours vécu dans un grand isolement. Peut-être d'ailleurs ais-je pris une mauvaise décision, peut-être aurions-nous dû rester seules toutes les deux, et continuer notre aimable et tranquille cohabitation... Parfois, le mieux est l'enemi du bien... J'espère que La Chatte va s'habituer à la bruyante présence du tourbillon Loukoum.

     


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  • Moi, cette chaleur, ça me met....

    ... sans dessus dessous !!!

    retournée

     


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  • Toujours attentive au nom des rues que je traverse, toujours intriguée par un nom plus bizarre qu'un autre...

    rue_preservation

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  • jurassic-world-klasmag

      Je n'ai pas eu la chance de voir Jurassic Park au cinéma, mes fils étaient encore trop petits et je n'allais plus trop au ciné à ce moment là. Peut-être sommes-nous allés voir le 2, rien n'est moins sûr, et j'ai toujours regretté de ne pas avoir découvert ce film sur grand écran, car je suis sûre que cela devait être un excellent spectacle.

    J'ai beaucoup aimé la trilogie, du coup, quand ce nouveau volet est sorti, je n'allais pas laisser passer l'occasion de voir les grosses bébètes sur grand écran !

    J'y suis allée aujourd'hui, je me suis fait une séance "blockbuster + popcorn" et je n'ai pas boudé mon plaisir !  Ce Jurassic World reprend le scénario du tout premier Jurassic Park, et malgré cela nous n'avons pas l'impression de revoir le premier film, mais bien un nouveau film. La musique originale est elle aussi reprise, ce que j'ai bien aimé. Le suspens est au rendez-vous, le scénario fait intelligemment des rappels au premier film ce qui est très plaisant. Les dinosaures sont bien là, et, comme prévu, sur grand écran... c'est bien :-) 

     

     


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  • Ce soir, il fait 24° sur le balcon,, la température est enfin redevenue normale. Hier soir et cette nuit, il a fait chaud, très chaud. J'ai dormi sur mon lit, et pas dedans et ce matin, je me suis levée de très bonne heure (6 h 00) pour bénéficier d'un peu de fraîcheur pour le petit déjeuner. Ce soir, j'ai bien vu que le flux d'air était redevenu un flux d'ouest, c'est à dire un air maritime plus frais, alors que ces derniers jours, il s'agissait d'un vent du sud particullièrement chaud. J'aime l'été, j'aime la chaleur, mais pas trop longtemps tout de même... La Chatte elle-même se porte mieux ce soir.


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  • Je n'aime pas D. C'est ma collègue depuis deux ans, et pourtant en deux ans je ne l'ai pas beaucoup vue : mi-temps thérapeutique, arrêt maladie, re-mi-temps thérapeutique, arrêts pour "jour enfant malade".... Mais justement. Je ne supporte plus ses arrêts à répétition (une dépression qui l'empêche de travailler mais pas d'aller faire les soldes...), ses valeurs qui ne sont pas les miennes ("quand un enfant est malade, sa maman doit rester avec lui !" - ah, parce que le papa, il compte pour rien ?) et ses excuses à deux balles ("mon psy a peur que je rechute une nouvelle fois..."), pas plus que je ne supporte son agitation excessive, sa mauvaise foi, son individualisme et son je m'en foutisme par rapport à l'équipe.

    Plus encore, D. m'énerve car elle me renvoie à mes propres défauts, l'intolérance et le manque de compassion. Je devrais voir en D. ma soeur en Christ, lui sourire avec amour et lui souhaiter le meilleur, je devrai l'accompagner sur le chemin du rétablissement, mais non, je loupe mon entrée au Paradis, et pas qu'un peu : je la déteste, furieusement !

    A l'incertitude actuelle quant au devenir du service et la pérénité de nos postes actuels, s'ajoute maintenant une angoisse : celle de me retrouver encore à devoir travailler avec D. à l'issue de la future réorganisation. Pour le coup, ce serait vraiment l'Enfer....


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