• Parfois, il faut savoir traduire ce que demandent les utilisateurs...

    "Est-il possible de changer le supplément du serveur Barbapapa ?"

    Non, je ne travaille pas dans la restauration, mais dans l'informatique... Alors oui, il est possible de changer le suppléant du responsable du dossier Barbapapa.

    ...et ne s'étonner de rien : il y a réellement un dossier intitulé Barbapapa. Quel genre de documents peut-il bien contenir, ça, je me le demande...

     

    Aujourd'hui, après plusieurs mois de rebondissements juridico-financiers, nous avons officiellement changé d'actionnaire. La situation va maintenant évoluer, mais dans quel sens, autrement dit : à quelle sauce allons-nous être mangés ?Je ne m'inquiète pas, parce que s'inquiéter quand on ne sait rien, ben ça ne sert à rien, mais je ne suis pas sereine pour autant : dans la ligne de mire des nouveaux actionnaires, on le sait : les coûts informatiques, entre autres.


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    Guett

     

     

     

     

     

     

    Viviane Amsalem est-elle cette femme hystérique que décrit Elisha, son mari ? Celui-ci est-il le monstre froid qu'elle dénonce ? Ou ce couple est-il un couple "normal", comme en témoigne les voisins ? Là n'est pas le propos. Ce que dénoncent Ronit et Schlomi Elkabetz, réalisateurs de ce huis-clos passionné et passionnant, c'est l'injustice faite aux femmes juives qui souhaitent divorcer. En effet la décision du divorce ne revient pas à un tribunal - religieux - mais, in fine, au mari qui accepte - ou pas - de rendre sa liberté à sa femme. Or voilà, Elisha, s'il n'en finit pas d'énumérer ses griefs à l'encontre de Viviane, n'entend pas accepter le divorce qu'elle demande...

    Il n'était pas question pour moi, bien sûr, de louper ce nouveau film de et avec Ronit Elkabetz, film qui vient clôre la trilogie consacrée au couple Amsalem (Prendre femme / Les sept jours / Guett, Le procès de Viviane Amsalem). J'apréhendais toutefois ce nouveau film, les réalisateurs ayant opté pour un parti pris original : l'action se déroule sur cinq ans, et uniquement dans la salle du tribunal. Décor sommaire, et action minimaliste. Le film est intégralement contenu dans les dialogues (et les regards) des protagonistes, le couple Amsalem, les juges, les avocats, et quelques tiers venus témoigner. Pour autant, je ne me suis pas ennuyée une seconde, bien au contraire, j'ai été tenue en haleine durant tout le film, et j'en suis sortie avec le sentiment, toujours agréable, d'avoir vu un bon film, original, bien réalisé, et bien joué. Ronit Elkabetz est formidable, comme d'habitude (je suis fan, définitivement), et Simon Abkarian est parfait lui aussi, et j'ai été contente de retrouver Sasson Gabai, qui donnait déjà la réplique à Ronit Elkabetz dans le très beau La Visite de la Fanfare.

    C'est en sortant du ciné que j'ai réalisé qu'en y allant, j'avais croisé une manifestation de soutien au peuple palestinien, alors que j'allais voir un film israélien. Je ne suis pas les actualités d'assez près pour savoir quel est l'origine de la nouvelle flambée de violence en Israél, une chose est certaine, c'est qu'en revenant de mon voyage là-bas l'an dernier, j'étais assez pessimiste. A travers les propos du guide, il en ressortait assez bien que le rêve des juifs, c'est une grande Israel, aussi grande que possible, quitte à rejeter les palestiniens à la mer si c'est possible. Dans un si beau pays, quelle tristesse que les peuples ne puissent s'entendre pour vivre ensemble pacifiquement.

     

    Il faut le voir pour le croire, l'Utopia programme une nouvelle fois.... Peau d'Ane, film culte s'il en est - pour moi tout au moins. Comment pourrais-je louper une telle occasion de revoir, sur grand écran, ce chef d'oeuvre kitchissime ? Puisque je suis dans la rubrique cinéma, je ne saurais que trop conseiller à mes éventuels lectrices et lecteurs de zapper sur Arte, mercredi prochain, pour le très beau Louise Wimmer, chroniqué en son temps ici même.


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  • A 9 h 30, ce matin, j'en avais déjà marre, alors que j'avais commencé le travail à peine une heure auparavant. Décidemment, je suis fatiguée et j'en ai ras le bol, je suis énervée de fatigue et de stress, les deux semaines qui me séparent des vacances vont être longues. Ce soir, j'ai profité du beau temps dans le parc voisin, il me fallait m'aérer, sentir l'air autour de moi, et reposer mes oreilles du tumulte de la circulation de l'avenue en contrebas de mon appartement. J'ai aussi pris le temps de rempoter un pied de basilic et un pied de menthe, que j'ai assorti dans un même pot à un pied de pervenche rose. J'aime mettre les mains dans la terre et le terreau, rangé dans un coffre sur mon balcon, était agréablement chaud et doux ce soir. Le basilic exhalait son odeur si particulière, et c'était agréable. Ce soir, avant de me coucher, je vais arroser les fleurs sur mon balcon, et faire des calins et des ronrons avec La Chatte - je ne loupe aucun des petits moments de plaisir et de détente que je peux m'accorder en ce moment !


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  • Je dégaine toujours mon APN, même dans les endroits improbables...
     
    salle_d_attente

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  • Je suis fatiguée. Je ne travaille pas vendredi (chic, une semaine de 2 samedis !) et heureusement. Déjà, la semaine dernière, je me suis réveillée le vendredi en me disant que je n'aurais pu me lever un jour de plus. Les vacances sont encore loin (août) et les journées de travail, très intenses ! Je ne regrette absolument pas d'avoir changé de boulot, l'an dernier, car ce que je fais maintenant me plait beaucoup, je ne m'ennuie jamais, et les journées sont bien remplies. Mais les journées sont bien remplies justement, et parfois j'aimerai pouvoir souffler un peu. Mais non, et en ce moment, c'est même encore plus intense. Ceci dit, je travaille dans une bonne ambiance, et ça, c'est vraiment agréable.

    Ce serait parfait si je n'étais pas fatiguée. Je râle quand j'entends ces syndicats qui s'accrochent à cette histoire de retraite à 60 ans. Le combat n'est plus là. Ma génération, et encore plus les générations suivantes n'auront jamais leurs annuités complètes à 60 ans. Le vrai combat à mener, c'est celui de l'aménagement du temps de travail des seniors. Personnellement, mon rêve serait de passer à temps partiel à partir de 60 ans, ne plus travailler que quatre jours, en perdant le moins d'argent possible, et tout en continuant à cotiser à temps plein pour ma retraite ! Cependant, quand je vois que le gouvernement actuel, prétendument socialiste, retarde la mise en place du compte-épargne "pénibilité" pour ne pas déplaire au Médef... je me dis que je vais continuer à rêver longtemps :-(

     

    Sinon, en vrac : le temps me dépite (je veux du soleil, du vrai !), mais j'apprécie les longues soirées, j'ai changé de téléphone je suis passée au smartphone et je trouve ça bien (non en fait je trouve ça génial) (vive le troisième millénaire !), La Chatte va bien, elle s'ennuie toujours mais ses poils repoussent, et moi je continue à me battre contre les araignées - j'ai dû faire face à une invasion de bébés araîgnées, une araignée ayant dû pondre ds le placard de ma chambre (horreur malheur !) - et j'aime voir les hirondelles voler et crier dans le ciel le soir :-) dans le nouveau programme de l'Utopia, j'ai repéré pas mal de choses qui me font envie, un documentaire sur Van Gogh, un autre sur Vivian Maier et un nouveau film avec Ronit Elkabetz (La Femme !) et même une énième rediffusion de Peau d'Âne ! Contre les araignées, j'ai vaporisé de l'insecticide dans mon placard, mais aussi et surtout de l'huile essentielle de lavande - et mon psy s'est moqué de moi en me disant qu'il avait vu de très belles toiles d'araignées sur des pieds de lavande. Oui, mais bon, la lavande ça sent meilleur que l'insecticide :-)


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