• Il y a bien des samedis soir où je n'ai rien à faire, que je passe à traînasser devant mon ordi. Mais samedi prochain... trois invitations en même temps !

    - une copine qui organise une sortie ciné,

    - ma cousine qui veut me marier,

    - une copine qui veut me marier.

    Diantre.

    Au départ, il n'y avait que la sortie ciné, et j'avais dit oui. Le film, c'est Jane Eyre, j'ai lu le bouquin trois  ou quatre fois depuis que je suis gamine, je ne vais pas le louper. Mais voilà, ma cousine m'a appelé en me disant  "samedi, j'oragnise une fiesta, tu viens !" Une fiesta chez ma cousine, je  ne résiste pas, j'aime bien sa bande de copains. Du coup, j'ai décliné la sortie ciné. Sur ce, une copine me voit ce midi et me dit "samedi soir j'organise un repas chez moi, il y aura un copain de mon copain, il est célibataire et tu verras, il est très sympa" Ca, c'est clair. Le copain du copain attendra, la fiesta chez ma cousine a la priorité. Comme j'appelle celle-ci ce soir pour lui confirmer ma venue elle me répond "je suis contente car... je veux te présenter un ami de mon ami, il est célibataire et tu verras, il est très sympa.". Je n'y échapperai pas, samedi, au copain célibataire   :-D

    Allez, ce soir là, je mettrai ma plus belle robe et mon plus beau sourire, puisque j'imagine que je suis "une cousine, elle est célibataire, et tu verras, elle est très sympa."  ;-)


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  • ... avec son lot d'étrangetés. Ma fiche est ainsi visitée par des hommes de tous les pays, et quand je dis tous les pays, c'est vraiment tous les pays. Les françaises ont donc "la côte" ?

    Voici le message d'accueil sur la fiche d'un de mes visiteurs étrangers...

    Cadre dirigeant du para -puplic dans son pays ayant effectué ses études supérieures en France. Fréquents séjours en Europe en général et en France en particulier pour raisons professionnelles ou privées. Désire nouer relations d'amitié avec jeune femme française , belge , agée de 45 à 55 ans ,plutôt agréable à regarder,ouverte sur le monde, sans préjugés, sociable ,sérieuse, pour échanges, travaillant dans le secteur puplic ,para-puplic, ONG, communal etc.. Malgré ma cinquantaine , suis physiquement crédité de 10 ans de moins par conséquent jeune de corps et d'esprit plutôt considéré bel homme. Plaisantines ,s'abstenir.

    Plaisantines. C'est mignon tout plein.    :-)


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  • Ce soir je suis allée dîner chez mes parents. Je ne les avais pas vu depuis une dizaine de jours. Ils ne m'ont pas demandé comment j'allais.

    Non, comme d'habitude ils ont critiqués une de mes tantes, mes frères, une de mes nièces...

    Ah si. Ma mère m'a quand même demandé comment ça allait, au travail. Mais me demander comment je vais, non. La règle, c'est : si tu ne veux pas avoir de réponses qui te gènent, ne poses pas de question. Ma mère l'applique à merveille.

    Et moi, j'attends avec impatience le retour de mon psy pour lui parler de mes crises d'angoisse d'abandon.


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  • La situation n'est vraiment pas brillante. J'ai désormais des crises d'angoisses quotidiennes. Ca arrive immanquablement dans l'après-midi, ça me quitte en début  de soirée. Je fais avec. J'attends le retour de mon psy avec impatience, même si je pense que ces crises vont me tarauder encore longtemps.

    Côté finances, j'ai dépassé mon découvert autorisé de 150 euros, et il me reste 8 euros en poche, pas de quoi faire mes courses samedi, et je n'aurai mon salaire que lundi prochain, peut-être même mardi :-(   Et c'est ainsi tous les mois, sauf que ce mois-ci c'est un peu plus dur encore que d'habitude. Mes "extras" (vacances, voyages) ne sont financés que par mes économies, reste d'un tout petit pécule récupéré lors de la vente du studio il y a deux ans. Et je refuse d'écorner mes économies (de quoi me racheter une voiture si la mienne me lâche) pour renflouer mon quotidien. Je commence à envisager de trouver un boulot d'appoint, le samedi. Evidemment, qui dit boulot supplémentaire dit impôts supplémentaires. L'idéal serait de me mettre à temps partiel au boulot = moins d'impôts, et de trouver un boulot complémentaire au black = revenus supplémentaires tout bénef'. Problème, je ne sais pas comment on trouve du travail au noir. Beau discours, de la part d'une ancienne déléguée syndicale ! mais voilà, la réalité quotidienne d'une célibataire avec un petit salaire fait oublier les bonnes intentions...


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  • Au moins pour cette année.

    Il faisait 26° ce soir dans l'appartement quand je suis rentrée, c'est incroyable la différence de ressenti que j'ai eu, entre ces 26° et les 28° de ces derniers jours. Deux petits degrés qui font toute la différence entre ce qui est supportable, et ce qui ne l'est pas.


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  • Dixit la météo. En attendant, il faisait 32° à l'ombre à 19 h ce soir sur la place de la mairie (qui est aussi la place de l'église. Et du cinéma. Et de la librairie - il n'y en a qu'une dans ma commune). Et le thermomètre affiche imperturbablement 28° chez moi. En fait, le seul endroit de la résidence où il fasse bon en ce moment, c'est le parking souterrain. Pour le coup, je suis contente d'aller bosser, surtout que j'ai réussi à faire condamner la bouche de la clim qui me tombait juste dessus, résultat la température est enfin acceptable.

     

    Côté baromètre intérieur, c'est la chute libre, une fois encore. Je serre les dents mais j'ai du mal à trouver un coin de ciel bleu dans le noir dans lequel je me débats.

    Du coup, là aussi, travailler devient une échappatoire appréciée. Le sourire du jour, je le dois à une de mes collègues : "quand je mourrai, je veux me réincarner en valise, comme ça je serais sûre de voyager."


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  • Cet été, je suis donc partie à ...

    paris

    Paris....

     

    Si si...


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  • Comme prévu, la grande salle de l'Utopia n'était pas climatisée hier, et j'ai eu un coup de chaud en m'y installant. Heureusement, le film (Royal Affair) se passant au Danemark, c'était rafraichissant  ;-)  En sortant du ciné, j'ai constaté qu'il n'y avait pas grand'monde dans les rues de Bordeaux écrasées par le soleil.

    Bonne surprise ce matin : une entrée d'air maritime voilait le soleil et rafraîchissait agréablement l'air. Il faisait 24° dans l'appartement à 9 h 00 ce matin. J'ai tenté de faire rentrer un maximum d'air frais, et j'ai refermé volets et fenêtres dès que la température extérieure a commencé à remonter.  Peine perdue : cet après-midi le thermomètre est remont à 28,5°. Et dire qu'il s'agit d'un bâtiment tout juste construit il y a un an !

    Je suis de nouveau partie me réfugier au ciné cet après-midi, bonne suprise, la salle était climatisée. Heureusement, car ce matin, au marché, j'ai eu un petit coup de chaud assez désagréable.

    Ce temps m'a donné une grosse, très grosse envie  de plage. Je donnerai cher pour aller sur l'océan un de ces soirs. Mais un aller/retour sur les plages ne me tentait pas cet après-midi, trop de monde sur les routes et sur les plages. Quand à aller contempler la voie lactée sur une plage un de ces soirs, c'est malheureusement hors de ma portée, je vois trop mal la nuit pour conduire. C'est dans ce genre de moment que je donnerai cher pour un "accompagnateur" !  Il me tarde tout de même début septembre : de nouveau en vacances, les touristes étant partis, je me ferai une joie d'aller faire un tour à l'océan !


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  • Il faisait 26° ce matin quand je me suis levée. Cette nuit, j'ai exceptionnellement laissé le volet roulant du séjour remonté d'une vingtaine de centimètres, pour le plus grand bonheur de la chatte qui n'a cessé de faire de bruyants allers-retours dehors/dedans. On ignore trop souvent que les chats sont des animaux en partie nocturnes (Julie, Tom, bon courage). Heureusement, elle s'est endormie au petit matin (et moi aussi !).

    Maintenant il fait 27°. J'ignore combien il peut faire sur la terrasse, écrasée de soleil. L'appartement est orienté sud/sud-ouest, c'est l'enfer. J'ai fermé volets et fenêtres, et la chatte ne me laisse pas ignorer son mécontentement. J'ai ressorti le ventilateur, et, astuce lue dans un bouquin il y a des années (peut-être La Mousson, ou Les Nuits de Bombay, de Louis Bromfield), j'ai étendu, à l'intérieur, du linge mouillé. Je ne porte qu'une robe de crèpe de coton. Je plains la chatte qui a une épaisse fourrure.

    Je ne sais si je vais aller me réfugier à l'Utopia : les petites salles ne sont pas climatisées, et pour y aller, il faut prendre le tram, pas climatisé non plus, et je n'arrive pas à remettre la main sur mes éventails.

    La bonne idée du jour : c'est une de mes copines qui l'a eue. Ce soir, on va aller prendre un verre à Bordeaux, sur les quais de la Garonne.


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  • 44°, c'était la température qu'il régnait, à l'ombre, sur la terrasse quand je suis rentrée à 19 h ce soir. Dieu merci, je repartais aussitôt dîner chez une de mes tantes. Maintenant, à 23 h 45, il fait 28° sur la terrasse... et à l'intérieur de l'appartement :-(


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  • A - Angoisses. Alors qu'elles m'avaient laissée tranquille la première semaine, une visite chez une de mes tantes en début de semaine suivante a remué certaines choses, et j'ai débarqué à Paris angoisses au ventre. L'agitation parisienne a eu raison du malaise, mais les angoisses sont réapparues dès mon retour à Bordeaux, et elles sont désormais quasi quotidiennes. Je  fais avec, ça reste supportable, ce sont de petites crises, mais il me tarde début septembre la reprise des séances chez le psy, je serre les dents en attendant.

    C - Chatte. Je l'avais rendue à ma copine qui revenait de ses vacances alors que je partais à Paris, et je l'ai finalement récupérée car ma copine repartait en vacances ! C'est pratique, ce système de chat "intérimaire" !  :-)

    M - Messe. A Notre-Dame. Dans la fumée de l'encens et la lumière des flashes des appareils photos des touristes (théoriquement interdit). Particulier.

    M - Métro. Je logeais dans le 12ème, sur la ligne 6. En grande partie aérienne, ma ligne préférée ! Comme dans les reportages qu'on voit au JT, j'ai vu trois petites roumaines se faire "serrer" par des flics en civil. Un spectacle étonnant. Surprenant aussi - pour la provinciale que je suis - le monsieur d'un certain âge jouant de l'erhu très consciencieusement, dans l'indifférence des passagers pressés. J'ai l'habitude de voir des musiciens dans le métro, mais c'était la première fois que je voyais jouer de cet instrument peu connu.

    P - Paris. PARIS ! Je partais avec l'idée d'aller au musée des Arts premiers, quai Branly, et au  musée d'Orsay, et avec un guide de balades thématiques en poche, ainsi qu'avec l'envie (merci Erick) de grimper à l'assaut de la butte Bergeyre. Finalement, Branly m'attendra quelques années encore. Orsay, c'était incontournable, pas question d'aller à Paris sans revoir le bleu de la Chapelle d'Auvers sur Oise, peinte par Van Gogh. Mais pour le restant, j'ai passé quatre jours à prendre.... un grand bol d'air !  J'ai "fait" le circuit des passages couverts dans le 8ème, suis partie sur les traces d'Hector Guimard dans le 16ème, et j'ai exploré les escaliers, ruelles et jardins du 12ème et du 20ème. Cela m'a fait un bien fou, pile ce dont j'avais besoin. De toute façon, Paris et moi, c'est une grande histoire d'amour.

    P - Parisien(ne). J'ai joué la vie parisienne, du moins telle que je la fantasme. Pour l'occasion, une de mes cousines m'avait prété son appartement, pendant qu'elle-même était en vacances chez ses parents. L'appartement parisien, petites pièces biscornues, plancher grinçant, salle de bain rajoutée dans la cuisine, géranium au rebord de la fenêtre de celle-ci. Et deux digicodes, et trois serrures. Ca, c'est le détail qui me fait rigoler. Bref, je prenais le métro le matin, le métro le soir, et en sortant du métro, je m'arrétais chez le libanais du coin, ou l'indien, selon les soirs, pour y prendre mon petit plat préparé à manger devant la télé. J'ai adoré.

    P - Paris, plein les yeux. Comme d'habitude, j'ai tourné la tête dans tous les sens. En l'air : Space Invaders ! Et au ras du sol : dans une rue du 12ème, une marque sur une maison indiquand le niveau de la crue de 1910. Incroyable. Une foule d'autres choses aussi, des marteaux de porte, des jardins extraordinaires, etc.

    P - Paris, le projet : bref, ça m'a tellement plu, que quand j'ai rendu les clés (les trois clés !) à ma cousine, je lui ai dit que si c'est possible, l'été prochain, je calerai mes vacances en fonction des siennes pour pouvoir passer à Paris le plus de temps possible. Et si ça ne peut pas se faire, je me renseignerais pour louer un studio dans une résidence hôtelière, quitte à casser ma tirelire.

    P - Photos. Est-ce mon lecteur de carte mémoire qui a rendu l'âme ? Impossible de visualiser et donc de publier ici, mes photos, notamment celle d'un magnifique jardin partagé bellevillois.

    T - Tour Eiffel. Je l'adore ! Et elle est toujours là  :-D  (n'est-ce pas ;-))  Un jour, tout de même, il faudra que je maîtrise mon vertige pour en partir à l'assaut !

    V - Visite. Le "bonus" de ce séjour parisien. Comme j'étais dans le 16ème à la poursuite des arabesques Art Nouveau de Guimard, j'ai fait un crochet rue Mallet-Stevens. Coup de chance inespéré : un des appartements d'une des maisons conçues par Mallet-Stevens était justement - et exceptionnellement - ouvert à la visite. Je suis passionnée d'architecture (enfant, j'ai vécu dans une maison conçue par Le Corbusier, ça influence), et j'ai été super contente de pouvoir mettre les pieds (emmitouflés dans des chaussons en papier d'hôpital pour ne pas salir !) dans cet appartement, restauré avec soin, dans l'esprit d'origine. Dieu est grand ! (Mallet-Stevens aussi). D'ailleurs, cette année, je me suis particulièrement attachée à regarder les immeubles. Si je n'ai pas pu y entrer (trop de queue), la façade de la cinémathèque m'a ravie. Dans le 12ème, j'ai pris mon pied (chacun son truc) en rentrant dans les cours des cités HBM  des années 30.  Et j'ai fait un détour place du Colonel Fabien pour y voir, enfin ! l'immeuble du parti communiste. Evidemment, c'est autre chose que Notre-Dame ;-)

    V - Vacances. Pour la première fois depuis que je vis seule, j'avais choisi de prendre trois semaines. Je ne le referai pas, sauf si je peux passer au moins deux semaines sur trois à  Paris. Trois semaines sur Bordeaux, c'est trop long, pour moi. En plus, les vacances fin juillet/début août, ce n'est pas la bonne période : séances ciné au ralenti, copines absentes, médiathèque fermée...

    R - Retour. Pour rentrer chez moi, en descendant du train, j'ai pris le tram. Bordeaux m'a paru petit, et le tram, lent !


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