• Parce qu'après deux jours et une nuit de migraine, je suis un peu, non, franchement fatiguée, et que je ne suis pas sûre de tenir jusqu'à minuit...

    Je vous souhaite à toutes et à tous 

    une excellente nouvelle année !  

     
     
    (promis les filles, l'an prochain je vous trouve un homme, d'ailleurs j'en ai un dans ma collection, tout aussi croquignolet que la gente dame ci-dessus !)

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  • Parce que ce soir, sur ma messagerie, j'ai reçu plusieurs mails qui m'ont fait très plaisir ! Merci à vous et bonne soirée à vous aussi, en Bretagne, en région parisienne, et à Bordeaux !

     


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  • Jamais avant le coucher du soleil, de Johanna Sinisalo. Paru chez Actes Sud, maison d'édition spécialisée dans les littératures du monde, ce qui donne l'occasion de belles découvertes. Par contre, je regrette que ce roman là soit paru chez Actes Sud, il aurait gagné, je pense, à paraitre chez un éditeur plus orienté fantastique.

    Car Jamais... n'est pas un roman ordinaire. (Trop) court, il alterne passages narratifs à voix multiples (les différents protagonistes de l'intrigue intervenant chacun à leur tour) et extraits de livres, d'encyclopédies, de sites web. Vrais, faux ? l'effet recherché par Johanna Sinisalo est atteint : une fois le bouquin terminé, je me suis précipitée sur le net vérifier certaines sources... Pour dire si je me suis laissée emporter par l'histoire !

    L'intrigue, justement : un soir en rentrant chez lui, Ange, jeune photographe talentueux, tombe sur une bande de gamins en train de martyriser ce qu'il prend d'abord pour un chien. Une fois les gamins enfuis, il découvre que le chien est en fait... un bébé troll. Fasciné, il cède à une pulsion qu'il ne comprend pas, et ramène l'animal chez lui.

    Il s'agit donc d'un roman fantastique, mais fantastique pour adultes, et ce genre de choses est toujours agréable. Parce que les trolls, d'accord, mais j'ai un peu soupé des romans où le héros est forcément un jeune homme trèèèès simple ("mais pourquoi, mais pourquoi moi ?") mais qui va se révéler plein de talents, pour peu qu'on lui mette une épée (ou une dague, ou une hache, ou un arc, ou un royaume...) entre les mains. Les mondes imaginaires, ça va bien cinq minutes. Dans Jamais... l'histoire se situe de nos jours, dans une Finlande moderne, où les trolls sont des prédateurs discrets à tel point qu'on les a longtemps crus imaginaires, mais qui se révèlent bien réels et d'une férocité qui les place au sommet de la chaîne alimentaire. Alors lorsqu'un des ex de Ange découvre que celui-ci semble cacher un troll, il craint le pire. De fait, le pire arrivera... Trolls, sexe and rock'n roll, c'est un peu ce à quoi ressemble ce bouquin, que j'ai dévoré à deux reprises, et que j'achèterais probablement un de ces jours, pour pouvoir le relire, encore et encore !

    Extrait :

    "Tout en  pianotant  sur  l'ordinateur,  je  surveille ma chambre du  coin de l'oeil. Dans  l'inconscience  de l'ivresse, l'idée de recueillir ce pauvre petit troll perdu et abandonné paraissait sacrément géniale. Un ogre qui peut atteindre deux mètres de haut à l'âge adulte ! Mais même maintenant que je suis à jeun, il a quelque chose de totalement captivant. Est-ce simplement l'harmonieuse souplesse de ses lignes qui flatte mon oeil de photographe ? Est-ce parce qu'il me faut, dès que je vois quelque chose de beau, me l'approprier aussitôt ? Des yeux, par le truchement d'un objectif, ou des mains. D'un clic de l'obturateur ou d'un claquement de verrou. Même si je ne sais pas ce que je pourrais bien en faire. (...) Que diable mangent les trolls ?"


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  • Le père Noël ne m'a pas oublié. Je vous présente donc Carlos, parce qu'il parait qu'il s'appelle Carlos, a décrété Numéro 2,  père Noël pour l'occasion...

     
    Et quand j'aurais le temps, entre  rangements et tris (je prépare mes valises, dans lequel je mettrai donc mon précieux Carlos...), je parlerai des bouquins à côté, dont l'admirable Jamais avant le coucher du soleil, de Johanna Sinisalo. 

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  • Une branche de cèdre tombée pendant la nuit et ramassée en me promenant ce matin, quelques pommes d'un petit conifère du quartier, ramassées tout le long de l'année, une bougie, rien de bien compliqué...


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    Joyeux Noël à vous toutes et à vous tous qui passerez ici aujourd'hui !

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  • Parce que la vie continue, qu'il faisait un temps bien sympa pour se balader dans Bordeaux hier. Un peu trop froid pour le vélo par contre, mais à pied, et je me suis rendu compte que pour les photos, être à pied c'est quand même un peu plus pratique qu'à vélo. Je n'ai pas eu le temps hier soir, mais promis, cette semaine : un article consacré au quartier de Mériadeck, pur joyau de l'architecture seventies (visiteurs, tremblez !  ;-) ).

     

    Pas du tout seventies, un nouveau marteau de porte est venu enrichir ma collection.

     



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  • Ce soir, je suis fatiguée d'être moi... épuisée, découragée.


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    La dentellada del mar muerde
    la abierta pulpa de la costa
    donde se estrella el agua verde
    contra la arena silenciosa.

    Frente a la furia del mar
    son inútiles todos los sueños
    para qué cantar la canción
    de un corazón que es tan pequeño

    desgranado viento del mar
    sigue besándome la cara
    arrástrame viento del mar
    adonde nadie me esperara

    a la tierra más pobre y pura
    llévame viento entre tus alas
    así como llevas a veces
    las semillas de las hierbas malas

    allí estaré como aquí estoy
    adonde vaya estaré siempre
    con el deseo de partir
    y con las manos en la frente.

    Frente a la furia del mar
    son inútiles todos los sueños
    para qué cantar la canción
    de un corazón que es tan pequeño.

    a mordiscos de sal y espuma
    borra el mar mis últimos pasos
    y una bandada raya el cielo
    como una nube de flechados.

     

    Pablo Neruda


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  • Semaine agitée. Je n'avais pas vu passer novembre, je ne vois pas passer décembre non plus. Entre le boulot, qui devient trop chiant (faire x choses en même temps ce n'est déjà pas facile, si en plus on a la tête ailleurs, forcément ça devient casse-gueule), et tout le travail autour des négos salariales (communications aux salariés, actions syndicales,...), décembre c'est toujours difficile.

    D'où une pause particulièrement appréciable mercredi soir, à l'occasion d'une soirée de service. Sans alcool, comme toujours, mais avec bcp de rires et de danses. Côté alcool, j'avais pourtant essayé, une fois n'est pas coutume (et pour une fois que je ne conduis pas !) : un premier punch, suivi d'un second, puis d'un troisième, d'un quatrième, rien n'y a fait. Je me suis bien renseignée pourtant : il ne s'agissait pas d'un cocktail sans alcool. Je me suprotège tellement côté émotionnel en ce moment que j'ai dû devenir imperméable aux effets de l'alcool, aussi. Alcool ou pas, j'ai vraiment passé une bonne soirée, sur la rive droite de la Garonne, face aux quais illuminés et à la place des Quinconces entourée de beaux éclairages verts la mettant en valeur. A la fin de la soirée un de mes collègues avait assez bu pour se persuader qu'il savait danser le rock, et m'a entrainé dans l'aventure, on a bien ri et on s'est finalement pas trop mal débrouillés !

    Lendemain difficile, trop peu de sommeil et trop de stress, j'ai passé la journée dans les vaps - la gueule de bois sans avoir bu, si ce n'est pas malheureux !   :-(   Pas facile dans ses conditions de faire signer, le midi à la cafèt et en plein repas amélioré de fin d'année, une pétition demandant le soutien des salariés aux revendications des syndicats à l'occasion des négos salariales annuelles.

    Côté négociations salariales, beuh. La direction a proposé aujourd'hui de maintenir la pause salariale qu'elle demande, mais en accordant une prime aux coéfficients les plus bas. Ce qui s'appelle diviser pour mieux régner. Ce qui lui permet aussi d'affaiblir l'action des syndicats dont les troupes sont rarement parmi les cadres sup'. J'ai rappelé que les négos salariales doivent concerner des mesures collectives. La DRH m'a répondu qu'il y a bien mesure collective, en l'occurence... l'absence d'augmentation générale. Ah. On s'est levé on est parti. La DRH nous a rappelé qu'il s'agissait de la dernière réunion prévue au calendrier et qu'elle allait donc établir un pv de fin de négo. On a indiqué qu'on voulait un pv de rupture de négo... Je suis partie trop tôt ce soir (rdv avec une des profs de N°2), je découvrirais lundi matin la version officielle que la DRH aura envoyé par mail à l'ensemble des collaborateurs. On y fera figure de méchants, bien sûr. Par contre, pour une fois, les salariés devraient nous soutenir plus que d'habitude. Car on a bien compris que le gel des salaires cette année, il est fort probable qu'il soit maintenu aussi l'an prochain... Préavis de grève pour jeudi prochain, à suivre, donc...

    N°2 donc. Il ne bosse pas. Il est fainéant, et va probablement se planter aux examens à venir. Sermon, re-sermon... je suis un peu désabusée. Il est assez intelligent pourtant pour prendre la mesure de la situation.

    Et puis sinon, parce qu'il y a des choses, comme ça, dans la vie, qui parfois font que, eh bien j'ai envoyé un mail à papa-maman pour leur signaler que le 1er janvier, je serais probablement chez eux avec mes valises. Et c'est pas vraiment de qq jours de vacances qu'il est question. C'est pratique le mail, ça évite les émotions au téléphone, c'est un peu lâche mais finalement vachement pratique. Ah ouais, c'est vrai, j'adore les nouvelles technologies...  :-/


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  • Lundi après-midi tranquille. Stéphanie, à ma gauche, a parlé de son repassage du dimanche, du coup, Cyril, à ma droite, a raconté qu'il avait repassé ses chemises devant Stade 2. La première fois qu'il nous a dit qu'il repasse lui-même ses chemises, on ne l'a pas cru. Avec sa carrure d'ancien rugbyman, et ses récits de soirées-beuveries, on avait du mal à l'imaginer devant une planche à repasser. Dominique, en face, repasse lui-aussi ses chemises lui-même. Mais aujourd'hui, il a surtout parlé, et surtout à moi (avec Cyril il parlera plutôt de foot et avec Stéphanie, plutôt de boulot ou de Barcelone), du reportage qu'il a vu hier soir, consacré à Hannibal et sa traversée des Alpes avec ses éléphants. La semaine dernière, déjà, il a absolument tenu à me parler d'un reportage consacré à Darwin, et il est capable, pour le coup, d'être bavard et presque passionné. J'aime bien Domi, et j'aime bien quand il me raconte ce qu'il regarde ou ce qu'il lit. Pour le coup, j'avais presque honte de lui dire que je n'avais regardé que Créatures Féroces, hier soir (Mais j'adore les films de cette équipe-là !).

    On n'a pas beaucoup bossé cet après-midi. Faut dire que j'étais en négos salariales, ce matin, et que la proposition que nous a faite la DRH, vite relayée aux salariés, n'a pas contribué à nous motiver. Cette année on ne nous propose rien. Ou plutôt on nous propose : rien, zéro euro d'augmentation. Et en contrepartie l'entreprise s'engagerait à ne pas licencier pour raisons économiques en 2010 (ce qui n'est même pas crédible !)... bon, on sait bien que ce n'était que l'ouverture des négos, et que ce n'est pas leur "vraie" proposition. Mais bon, ça devrait quand même en être proche... Je n'aime pas ces négos, chaque année c'est pareil, la DRH propose le moins possible, les syndicats le plus possible, rien n'est crédible, j'ai du mal avec ce genre de cinéma là. La CFDT annonce toujours des demandes excessives, et finit toujours par signer des négos ridiculement basses. Je crois d'ailleurs qu'ils commencent à prendre conscience qu'ils se sont fait berner pendant des années, ils ne sont pas si bons négociateurs que ça. C'est con, ils sont majoritaires. La CGT signe rarement, et c'est le seul moment de l'année où je les trouve rationnels, et leurs propositions sont bien construites et argumentées. Quand aux autres, dont mon syndicat fait partie, ben on essaie d'être entendus, de faire des propositions constructives, de trouver d'autres alternatives aux seules propositions pécuniaires. Peine perdue. Les négos se décident souvent au dernier moment, et dans le bureau des DRH, entre CDFT et Direction... C'est généralement le moment de l'année où j'ai envie de tout laisser tomber tellement je suis écoeurée...

    Bref, on a parlé de nos repassages respectifs, en se demandant dans quoi (à part le repassage payé en chèque emploi-service) on pourrait bien se reconvertir quand on se retrouvera au chômage. On a la quarantaine, un peu plus de dix ans de boîte, des compétences spécifiques, mais bien éloignées de nos formations de base, et tellement spécifiques qu'on voit pas très bien qui ça pourrait intéresser... On plaisante encore, mais on est de plus en plus crispés...


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  • Une de mes copines a eu la bonne idée, après quelques années d'exil à Rouen, de revenir sur l'Aquitaine. Il faut savoir que je n'ai jamais eu aussi froid de ma vie qu'à Rouen, un mois d'avril où j'étais allée la voir. Déjà, Rouen, c'est galère pour y aller depuis Bordeaux, mais en plus, le plateau rouennais balayé par les vents, ça prend des allures de Sibérie. Sans la neige, donc en plus c'est moche. Bref, elle est revenue dans la région et c'est bien mieux.

    Sauf que samedi, Saintes, c'était aussi venteux et froid que la Normandie. D'un autre côté, on avait tellement mangé le midi que grelotter en se promenant dans Saintes, c'était un bon moyen de faire passer les calories du tatin de cèpes aux marrons, du pavé de boeuf fondant, et de la tarte aux pommes maison...

    Gourde que je suis, et un peu à la bourre quand la copine qui m'emmenait est venue me chercher le matin, j'ai oublié mon appareil photo. J'ai quand même pris quelques photos, avec mon téléphone, et oh surprise, malgré les dents qui claquaient et les mains qui tremblaient, j'en ai quelques-uns d'acceptables...

    Saintes est une petite ville très mignonne, où il me plairait bien de vivre. On y devine que l'été, il doit y faire bon, en bordure de Charente. Et puis il y a plein de choses à voir, antiquités romaines, blanches demeures bourgeoises, et même... quelques graffiti ! Je crois que la basilique Saint-Eutrope, datant du Moyen-Age, est également à voir. Ne pas oublier l'APN la prochaine fois !  

    Surprenant, cet arc de triomphe en plein centre-ville. Fort bien conservé qui plus est, et juste à côté il y a un musée qui abrite pas mal de choses très intéressantes. Un peu plus loin, à la sortie de la ville, des arènes que j'ai visitées il y a qq années, et elles aussi en bon état.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Je crois que j'ai trouvé un moyen de pression sur N°2, pour qu'il se tienne enfin tranquille. Je l'ai menacé de m'inscrire sur Facebook.

    "Si je m'inscris sur Facebook, tu deviendrais mon ami ?

    - ça va pas ? de toute façon, après 25 ans, je ne vois pas l'intérêt de s'inscrire sur Facebook !

    - Et bien tiens-toi tranquille alors, sinon je m'y inscris et je crée un groupe "Maman te demande de ranger ta chambre !"

    Et comme ce soir en rentrant, il râlait contre Radio Nova, sur l'autoradio, je l'ai menacé de créer aussi un groupe "Maman n'aime pas le rap". Il s'est calmé aussi sec.

    Je l'avoue, je fonde de grands espoirs sur ce chantage à Facebook.

    J'aime beaucoup les nouvelles technologies...


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    Il y a des matins où tu te dis que Dieu existe. Quand, par exemple, tu te lèves un matin un peu tôt et que tu allumes la tv, ce qui a dû t'arriver deux fois dans ta vie, que tu tombes sur la retransmission d'un concert, que tu te dis "tiens on dirait du Nils Peter Molvaer" et qu'il se trouve que c'est bien Nils Petter Molvaer. Et tu planes pendant une heure et demie, parce que comme Dieu existe, en plus tu es tombée juste au début de la retransmission et que ça tombe bien, tu n'avais rien à faire ce dimanche matin là.

    Et puis il y a des matins plus difficiles, quand tu crises parce que tu n'arrives plus à rien faire de ta tête, que tu donnerais n'importe quoi pour ne pas être toi, ou alors toi en beaucoup mieux, et qu'un tas de petites contrariétés se mettent sur ton chemin justement le matin où tu dois arriver au boulot de bonne heure. Tu crises parce que ta peau te fait mal de nouveau alors que ta dermato n'a rien trouvé quand tu as été la voir, tu crises quand tu te retrouves avec de l'eau dans l'oreille, bien au fond derrière le tympan elle ne veut pas en sortir, et tu t'aperçois avec horreur qu'elle sert de caisse de résonnance à chacun de tes pas, alors que tu as prévu d'arpenter le pavé bordelais l'après-midi même. Tu rajoutes une nouvelle couche de vernis à ongles et évidemment ça ne sèche pas (le mieux est l'ennemi du bien, toujours), tu te prends une giclée de patchouli dans la figure en voulant te parfumer, tu galères pour attacher la bride de tes chaussures, tu te trompes de manteau dans l'entrée, et tu pars en oubliant la poche-poubelle en plein milieu du couloir. Et tu sors, tu t'aperçois qu'il fait froid, que ta voiture est embuée mais que tu es à la bourre et que tu vas partir sans avoir trop le temps d'attendre qu'elle chauffe. Tu ne te poses plus trop de questions sur l'existence de Dieu, ta gratitude va droit à l'inventeur du lycra, car tu sais qu'il y a quelques années, en pareille matinée, tu aurais en plus filé un ou deux collants.

    Et puis la voiture se réchauffe, le pare-brise s'éclaircit, les champs alentours se parent d'une brume bleue foncée, et sur FIP tu entends la rencontre improbable mais miraculeuse d'une kora et d'un violoncelle, trois minutes de grâce, de délicatesse et d'apesanteur. Et tu sais alors que quand tu arriveras au boulot, qu'on te demandera comment ça va, tu répondras "je vais  bien."


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